Ce blog présente des techniques de gestion qui ne sont pas seulement applicables sur le lieu de travail, mais qui inspirent la créativité et l’excellence dans n’importe quel environnement.
Certains des sujets du blog incluent : comment favoriser la collaboration, comment responsabiliser les autres, comment devenir un meilleur leader et bien plus encore.
Le terme « sketchnoting » est dérivé de la combinaison de deux mots anglais : « sketch » qui signifie esquisser, dessiner, gribouiller et « note taking », c’est-à-dire une manière de décrire la façon dont les gens créent des représentations graphiques pendant qu’ils écoutent ou, dans d’autres cas, animent des réunions et/ou des ateliers.
Qu’est-ce que le sketchnoting ?
Le sketchnoting est l’une des diverses disciplines regroupées sous l’appellation de techniques de « facilitation graphique » telles que le scribing (ou enregistrement graphique), le mindmapping, etc. L’objectif de toutes ces techniques est de faciliter une réunion ou une conférence par une prise de notes plus dynamique et visuellement plus attrayante que la prise de notes traditionnelle.
Les sketchnotes sont une combinaison de dessins et de prise de notes. Il s’agit de notes visuelles prises au cours d’une conférence, d’une réunion, d’un entretien ou d’une interview. Elles combinent texte et dessins afin d’exprimer les idées principales de l’orateur dans un format intéressant et facile à comprendre qui vous aide à mieux vous souvenir de ce qui a été dit.
Pris littéralement, le terme « sketchnotes » est une combinaison de deux termes anglais : « notes » dans le sens de « prise de notes » et « sketch » qui signifie esquisser, dessiner, gribouiller. Le sketchnoting est donc une méthode de prise de notes qui combine l’écriture et le dessin et qui est le plus souvent utilisée « en direct », c’est-à-dire réalisée lors d’un événement (une conférence, une interview, un concert, une réunion, etc.) Mais de nombreux sketchnoteurs passent d’abord par une phase de prise de notes classique ou uniquement de mots-clés et/ou une phase de crayonnage pour poser les bases de leur croquis avant de passer au noir et à la couleur.
Pourquoi dessiner quand on peut prendre des notes ?
Dans le sketchnoting, l’objectif principal est de communiquer des idées et des pensées par le biais de dessins et de textes. Si certains sketchnotes sont créés en écoutant une conférence ou en regardant une présentation, de nombreux sketchnotistes préfèrent créer leur art « en direct » lors d’un événement.
Les sketchnotes sont des notes visuelles créées avec un stylo et du papier. Le but du sketchnoting est de capturer les idées et concepts clés d’un orateur, d’un auteur ou d’un sujet et de les communiquer visuellement. Les sketchnotes sont souvent utilisés pour des présentations en direct, mais certains sketchnoteurs créent des sketchnotes pour des livres, des articles ou d’autres documents écrits.
Pourquoi les sketchnotes sont importants dans notre société surchargée d’informations
La prise de notes est une compétence importante pour les étudiants, mais aussi pour les adultes dans un environnement professionnel. La méthode typique de prise de notes consiste à écrire des notes avec un stylo sur du papier. Cependant, il existe d’autres options qui peuvent vous être utiles, comme le sketchnoting.
Raconter une réunion à quelqu’un peut être mémorable et efficace, mais ce n’est pas la même chose que de lui montrer les points clés à travers vos dessins. Les sketchnotes fonctionnent mieux lorsqu’ils sont utilisés pour raconter des histoires et souligner les idées clés d’une réunion.
Raconter une réunion peut être mémorable et efficace, mais ce n’est pas la même chose que de montrer les points clés à travers vos dessins. Les sketchnotes fonctionnent mieux lorsqu’elles sont utilisées pour raconter des histoires et souligner les idées clés d’une réunion.
Le sketchnoting consiste simplement à dessiner des images pour expliquer quelque chose. C’est un moyen efficace de capturer des informations pendant des réunions ou des présentations et de les partager ensuite avec des collègues ou des amis.
Vous souhaitez peut-être prendre de meilleures notes lors d’une conférence ou d’une réunion. Ou vous voulez rendre quelque chose de plus mémorable pour vous-même et vos collègues. Ou peut-être souhaitez-vous simplement apprendre de nouvelles choses en utilisant un mode d’expression différent, moins linéaire et plus intuitif.
Les sketchnotes peuvent être le moyen idéal d’élaborer et de partager ce que vous avez appris sur un sujet particulier. Elles vous obligent à réfléchir aux points clés de votre message et à le présenter de manière digeste. Si ce que vous avez esquissé n’est pas immédiatement compréhensible, cela signifie que vous n’avez pas encore trouvé la bonne façon de le représenter.
CONSEIL : Une erreur fréquente consiste à penser que les croquis et les esquisses doivent être aussi détaillés que possible. L’important, c’est le contenu après avoir vu le croquis. Il importe alors peu que certains éléments soient simples ou inexistants.
Vous souhaitez apprendre à réaliser ce genre d’illustration ?
Les ateliers collaboratifs ont de nombreux avantages car ils permettent à des groupes, des équipes et à des individus de répondre aux ambitions qu’ils souhaitent atteindre.
Les ateliers collaboratifs sont un excellent moyen de faire travailler les gens ensemble et de partager leurs connaissances, leurs compétences et leur expérience. Ils sont également un excellent moyen de proposer de nouvelles idées et solutions.
Chez Insuffle, nous construisons des ateliers collaboratifs, adaptés aux ambitions des organisations souhaitant se mobiliser pour atteindre leurs objectifs.
Dans cet article nous vous proposons, les 10 avantages d’ateliers collaboratifs. Mais avant de commencer, voici notre définition d’un atelier collaboratif. Les ateliers collaboratifs sont un excellent moyen de faire couler le jus créatif, de réfléchir à des idées dans une atmosphère sans jugement et de générer de nouvelles idées avec l’aide de votre équipe. Ces derniers permettent de réunir des femmes et des hommes physiquement ou à distance pour construire quelque chose de plus grand que ce qu’une seule personne ne pourrait faire. Les ateliers collaboratifs permettent aussi de renforcer le sentiment d’appropriation. Plutôt que d’avoir une seule personne qui trouve “la bonne solution”, le groupe trouvera “sa bonne solution” ; les résultats en termes d’implication et d’appropriation seront ainsi présents.
Les ateliers collaboratifs ont souvent des dénominations différentes comme workshop, brainstorming, design thinking, atelier co-construction… Des ateliers qui permettent de faire émerger l’intelligence collective.
Les ateliers collaboratifs devraient faire partie de tout cycle de projet, qu’il soit grand ou petit. C’est une opportunité pour l’équipe de partager des idées, d’obtenir des commentaires et de travailler en collaboration. Cela aide également à identifier les forces et les faiblesses de leur processus.
Objectifs des ateliers collaboratifs ?
Les objectifs sont divers et variés, cela passe par la résolution de problèmes, la création d’un nouveau produit/projet, l’amélioration d’un processus inadapté, un produit qui se vend mal, un logiciel trop gourmand en ressources, une équipe qui fonctionne mal, un gâchis dans l’utilisation des ressources dans l’entreprise … L’objectif premier étant de répondre collectivement à un enjeu d’entreprise ou d’une collectivité territoriale.
Nous vous proposons donc les 10 avantages que vous pourriez récolter grâce aux ateliers collaboratifs. Souvent utilisé pour traiter une problématique ou un irritant, son objectif est alors de trouver collectivement des solutions.
L’implication
Certainement l’un des points le plus important. Ces ateliers collaboratifs, s’ils sont correctement préparés, permettent aux groupes et aux équipes qui les composent, de se sentir pleinement impliqués dans la démarche et la recherche de solutions adaptées à leurs contextes.
L’implication c’est le carburant et le moteur interne des équipes pour leur appropriation. Par expérience, quand l’objectif est clair, le sponsor accompagné et les équipes embarquées , l’implication sera alors présente !
La cohésion
La cohésion d’une équipe est le ciment des interactions profitables. Les ateliers collaboratifs permettent de créer un esprit de cohésion au sein de ces dernières.
L’innovation
Innover ne veut pas dire inventer ; innover c’est trouver une façon différente et plus optimale (processus, interactions …)pour une organisation de répondre à ses ambitions. Nous cherchons à créer de petites différences qui feront de grandes différences au sein des groupes que nous accompagnons. Chose étonnante, les solutions trouvées lors de ces ateliers collaboratifs sont rarement les solutions imaginées au départ. Ces ateliers permettent de créer une forme d’innovation propre à chaque entreprise.
S’aligner sur une vision
Cela semble anecdotique, mais s’aligner sur des attentes et une vision commune entre le management et les équipes permet à celles-ci de performer. Que de temps perdu à ne pas se comprendre, imaginer ce que l’autre pense, interpréter des résultats non factuels … Ces ateliers collaboratifs permettent de s’aligner sur une vision commune et partagée.
L’appropriation
Un des atouts qui nous est souvent partagé lorsque nous accompagnons des équipes c’est l’appropriation des livrables créés lors de ces ateliers collaboratifs. En effet, le fait de trouver SA solution, de la décortiquer, de l’affiner … permet aux équipes de se dire “C’est notre solution”, “C’est nous qui l’avons trouvée”.
Très régulièrement, les retours à chaud sont positifs et donnent au groupe une source supplémentaire d’appropriation. Les ateliers collaboratifs sont un formidable moyen de s’approprier pleinement le contenu et les solutions à la demande initiale.
Améliorer l’empathie
L’empathie est la capacité d’un groupe ou d’une personne, à se mettre à “la place” de son client, de ses collaborateurs, de ses managers, de ses salariés… pour comprendre comment “l’autre” vie une situation particulière. Les ateliers collaboratifs offrent la possibilité aux individus qui composent ces derniers de mieux s’imprégner du “ressenti” du groupe.
Ouvrir le champ des possibles
Lors de nos accompagnements et dans de nombreux ateliers collaboratifs, nous aidons les individus à ouvrir le champ des possibles. C’est-à-dire, à ne pas se concentrer immédiatement sur une seule idée mais bien à ouvrir au maximum les différentes options (voire même les plus folles) pour répondre à l’objectif de cet atelier collaboratif. Cette ouverture permet alors une multitude de possibilités qui restent à exploiter . Ou non. Les ateliers collaboratifs offrent cette possibilité notamment grâce à l’intelligence collective de se surprendre à trouver des solutions inattendues mais tout aussi puissantes.
Accepter l’incertitude
L’incertitude nous entoure en permanence ; elle est omniprésente dans nos organisations. Les ateliers collaboratifs sont alors une des solutions possibles pour accepter cette contrainte et offrent même la possibilité d’en faire une force inexploitée par un grand nombre d’organisations.
Plus nous cherchons à contrôler nos certitudes plus notre capacité d’adaptabilité se referme. Ces ateliers collaboratifs offrent un contexte où nous aidons les individus à accepter cette incertitude par le biais d’hypothèses, de questionnements et d’échanges sur le terrain.
Décider plus facilement
Les ateliers collaboratifs constituent une force permettant aux équipes de décider ensemble plus facilement. Nous accompagnons les groupes de différentes manières et avec de nombreuses techniques pour décider plus facilement. Décider c’est faire des choix face à différentes solutions. Il s’agit bien souvent de décisions fortes. Le groupe doit alors avoir une grande partie des outils pour prendre des décisions de manière collective ou aider “les décideurs” à donner les bonnes données pour décider.
Exemple : quels sont les gâchis que nous produisons dans notre chaîne d’assemblage ?
Être plus rapide
Un des atouts des ateliers collaboratifs est la rapidité dans la compréhension d’un contexte, d’une situation, d’une problématique, d’un besoin et d’un nouveau projet. La rapidité est le nerf de la guerre dans les différentes organisations que nous accompagnons. Lors d’un atelier collaboratif, cette rapidité se manifeste par un groupement collectif qui permet de fluidifier le flux de communication, de regrouper les acteurs clés dans un même espace, de parler et visionner la même chose que tout le monde. C’est en ce sens que nous utilisons régulièrement la facilitation graphique comme outil pour répondre à la fameuse question “Tu vois ce que je veux dire ?”. Les ateliers collaboratifs que nous construisons le sont toujours en fonction des attentes du sponsor et du groupe.
Il existe encore de nombreux avantages et bénéfices aux ateliers collaboratifs, comme la motivation, la découverte, l’émergence … Mais attention à un point. Chaque atelier collaboratif doit être construit minutieusement, avec un objectif clair, connu et reconnu de tous et soutien fort du management voulant impliquer ses équipes. Ce n’est en aucun cas, être une forme de manipulation déguisée. Vous perdrez alors tous les bénéfices cités ci-dessus. Il existe des caractéristiques fortes pour ces ateliers collaboratifs.
Vous souhaitez goûter à notre façon de faire (c’est totalement gratuit 😁) pour construire un atelier collaboratif efficace et percutant ?
La facilitation est un terme souvent utilisé dans un contexte d’intelligence collective pour décrire le rôle d’une personne qui facilite un événement, une discussion ou une réunion entre un groupe de personnes. Le facilitateur aide un groupe à atteindre son plein potentiel en créant des opportunités de discussion et en s’assurant que la participation est aussi équitable que possible.
Le terme « facilitateur » est souvent utilisé pour décrire le rôle d’une personne qui facilite un événement, une discussion ou une réunion entre un groupe de personnes. Le facilitateur aide un groupe à atteindre son plein potentiel en créant des opportunités de discussion et en s’assurant que la participation est aussi équitable que possible.
La facilitation en quelques mots
La facilitation est l’art d’aider un individu, un groupe ou une organisation à atteindre un certain objectif. Les facilitateurs ne sont pas nécessairement des experts dans le domaine qu’ils animent, mais ils possèdent des compétences qui leur permettent de tirer parti des connaissances et de l’expérience des autres.
En tant qu’outil d’intelligence collective, la facilitation peut aider à rassembler des personnes aux perspectives diverses, afin qu’elles puissent travailler à un objectif commun. Un facilitateur doit s’efforcer de créer un environnement où les idées circulent librement et où tous les participants se sentent en sécurité pour exprimer leurs préoccupations et leurs espoirs.
La facilitation est, fondamentalement, un rôle neutre. C’est à le facilitateur d’écouter la contribution de chacun et de s’assurer que tout le monde se sent entendu. Le facilitateur peut également traduire ce que quelqu’un a dit en termes différents ou en exemples qui intéresseront les autres participants ou les aideront à mieux comprendre.
Le rôle d’un facilitateur en entreprise
Dans un contexte d’intelligence collective, le facilitateur est la personne qui anime un événement, une discussion ou une réunion entre un groupe de personnes. Le facilitateur aide un groupe à atteindre son plein potentiel en créant des opportunités de discussion et en s’assurant que la participation est aussi équitable que possible.
Le rôle du facilitateur au sein d’un réseau d’intelligence collective est d’encourager chaque voix à être entendue et de créer une opportunité égale de participation.
Être un facilitateur en entreprise, c’est avant tout :
Créer un objectif commun entre les participants
Faciliter les interactions entre les participants
Travailler avec les participants pour établir des objectifs clairs
Aider les participants à traiter les idées qu’ils génèrent afin qu’ils puissent passer à l’étape suivante.
Un facilitateur d’entreprise a des responsabilités à la fois stratégiques et fonctionnelles, et peut être responsable du processus décisionnel lui-même ou seulement de sa facilitation. Le facilitateur est responsable du processus qu’il aura créé pour aider le groupe à atteindre ses ambitions.
Sur le plan fonctionnel, son rôle est celui d’un coordinateur ou d’un opérateur plutôt que d’un leader. Il se concentre sur la logistique des rencontres entre les différentes personnes du projet, en veillant à ce que toutes les questions techniques soient résolues avant la réunion (lieu, disposition de la salle, équipement audiovisuel, etc.)
En termes de gestion du processus, il s’assure que chaque membre comprend les différentes questions et ses positions ; il veille également à ce que les membres respectent l’heure et l’ordre du jour. Le facilitateur doit veiller au bon déroulement des réunions en assurant le suivi des discussions, en gérant les interruptions et en encourageant les contributions de toutes les parties concernées. Il s’assure également que les participants assument la responsabilité de leurs engagements et de leurs échéances afin d’assurer un suivi efficace des décisions prises lors des réunions.
Ils aident les membres du groupe à comprendre les points de vue des autres et à travailler à une vision collective. Le facilitateur conduira également les membres du groupe vers un consensus si nécessaire, en identifiant les problèmes clés et en trouvant des solutions acceptables pour toutes les personnes impliquées.
Comment être un bon facilitateur ?
Les meilleurs facilitateurs sont capables de créer une conversation à la fois inclusive et diversifiée. Ils ont le don de faire ressortir ce qu’il y a de meilleur chez les gens, de les amener à partager leurs connaissances et leur expérience, d’encourager les différents points de vue. Et ils sont habiles à rassembler des informations provenant de diverses sources afin que chacun dispose des informations les plus récentes.
En d’autres termes, les meilleurs facilitateurs d’entreprise sont à la fois des pédagogues et des diplomates mais surtout des personnes sensibles aux signaux faibles et à l’intelligence de situation. Mais il n’existe pas de style de facilitation unique qui convienne à toutes les situations. Des tâches différentes exigent des styles différents, et il est important d’être flexible. Un facilitateur trop contrôlant ou directif n’obtiendra pas le même résultat qu’un facilitateur qui laisse une plus grande liberté d’expression et d’action.
La facilitation est un terme souvent utilisé dans un contexte d’intelligence collective pour décrire le rôle d’une personne qui facilite un événement, une discussion ou une réunion se déroulant entre un groupe de personnes. Le facilitateur aide un groupe à atteindre son plein potentiel en créant des opportunités de discussion et en s’assurant que la participation est aussi équitable que possible.
Sketchnote autour de la définition de la facilitation.
La facilitation est un mot que l’on entend souvent dans les réseaux d’intelligence collective. Comprendre ce qu’est la facilitation et ce qu’elle signifie peut être essentiel pour comprendre le rôle du facilitateur.
La facilitation dans un contexte d’intelligence collective
La facilitation est l’art d’aider un individu, un groupe ou une organisation à atteindre un certain objectif. Le terme « facilitateur » est utilisé différemment selon les contextes. Par exemple, certaines personnes l’utilisent pour décrire quelqu’un qui enseigne quelque chose, ou quelqu’un qui fait aboutir une transaction commerciale.
La facilitation est toute action entreprise par une personne (le facilitateur) pour aider un groupe de personnes (l’intelligence collective) à atteindre ses objectifs. On peut affirmer que la facilitation est le rôle le plus important dans un contexte d’intelligence collective car elle aide à atteindre l’objectif global de l’intelligence collective.
Les principales responsabilités d’un facilitateur sont les suivantes :
D’aider chacun à s’impliquer et à apporter ses connaissances et ses compétences.
Mettre en place les conditions favorables à un dialogue efficace entre les membres et entre l’ensemble de l’équipe et son environnement.
Le facilitateur doit être capable d’équilibrer plusieurs besoins à la fois, en fonction du type de situation qui prévaut :
Apporter ses propres connaissances, son expertise et ses compétences lorsque cela est approprié, mais aussi ne pas trop prendre le dessus ou dominer l’ordre du jour ou la dynamique du groupe. Il offre également l’expertise nécessaire pour générer l’environnement favorable à l’émergence de l’intelligence collective. Son rôle est savoir s’effacer et être dans l’écoute active
Aider le groupe et ses membres à mieux se comprendre en écoutant attentivement, en aidant à faire ressortir les idées cachées en posant des questions, en résumant ce qui a été dit, etc.
Aider le groupe à prendre des décisions collectivement grâce à des dialogues constructifs qui permettent d’échanger des idées plutôt que d’exprimer des opinions
Faciliter la prise de décision dans un temps donné si nécessaire, afin qu’elle n’entraîne pas de frustration ou de blocage au sein du groupe
Veiller à ce que chacun se sente à l’aise pour contribuer.
Un facilitateur doit savoir articuler, réfléchir et être à l’aise avec le silence
Dans un contexte d’intelligence collective, le rôle de facilitateur est d’encourager et d’aider les personnes présentes dans l’espace à générer leurs propres idées, plutôt que d’être une source d’information. Les facilitateurs doivent être conscients qu’ils sont là pour aider le groupe à traiter ses expériences, plutôt que de lui donner des réponses.
Par conséquent, ils devront s’assurer de contrôler les conversations à bâtons rompus. Ils doivent mettre de côté tout besoin d’avoir raison ou de prouver qu’ils sont des experts. Il ne s’agit pas de faire étalage de ses connaissances, mais de permettre à tous les membres du groupe de partager leur intelligence collective afin de les aider à trouver des solutions par eux-mêmes.
Il est également important que les facilitateurs ne dominent pas la conversation avec leurs propres idées et opinions, même s’ils en sont parfois tentés parce que cela leur semble plus confortable. Le rôle de facilitateur est de faciliter une expérience d’apprentissage pour les autres, et pas seulement pour lui-même. Cela peut l’amener à se taire et à laisser les autres parler pendant qu’il écoute attentivement, sans juger ce qu’ils disent. Un facilitateur doit être éloquent, réfléchi et à l’aise avec le silence !
Conseils pour développer vos compétences en matière de coordination et de facilitation
Un facilitateur est un acteur clé pour donner vie à une intelligence collective. Son rôle est de s’assurer que la conversation se déroule sans heurts et que tous les participants sont entendus et respectés.
Mais de quelles compétences avez-vous besoin pour être un facilitateur efficace ?
Pour commencer, ils doivent être articulés et réfléchis. Il doit comprendre l‘objectif de la réunion ou de la discussion et être capable de poser des questions pertinentes qui aident à clarifier le sujet abordé. Les bonnes compétences en matière de facilitation consistent également à s’assurer que chaque membre du groupe est entendu et respecté. Cela signifie qu’il faut écouter attentivement, surtout si quelqu’un a quelque chose de difficile ou de complexe à dire ; s’assurer que les gens ont le temps de contribuer ; favoriser un débat constructif ; aider à maintenir la discussion sur la bonne voie ; remettre en question les hypothèses ; interpeller les gens lorsque leurs contributions s’éloignent du sujet ; éviter les préjugés ; et résumer afin que tout le monde sache clairement où nous en sommes arrivés.
Un facilitateur doit également être à l’aise avec le silence. Nous sommes souvent tentés de combler les silences, mais cela peut interrompre la réflexion ou la conversation des participants. Le silence doit être considéré comme une occasion de réflexion ou de contemplation plutôt que comme un délai stressant.
Vous rencontrez des problèmes dans vos équipes, dans vos organisations, dans vos réunions de Codir, dans vos rencontres … ? C’est étrange. 😉
Je vous partage ici un outil que j’utilise régulièrement quand j’accompagne des groupes qui ont besoin de voir rapidement de petites différences convaincantes face à leurs problèmes.
Des ateliers pour résoudre les problèmes il en existe beaucoup (SpeedBoat, Les 6 chapeaux de Bono, Fast Codev, Brainstorming, Diagramme d’Ishikawa, QQOCQP, Diagramme des relations, Lean Coffee …),
L’avantage de celui que nous vous proposons est qu’il peut être facilité et animé par le plus grand nombre. En effet, pas besoin de structure et de règles complexes; encore moins de techniques folles.
La simplicité !
Je vous propose notre matrice de solutions. Un atelier pour résoudre vos problèmes grâce à l’intelligence collective.
Pourquoi parler de Matrice de Solutions ?
Un problème peut être défini comme une question ou une situation qui doit être résolue. Les problèmes sont partout et nous en avons tous, mais c’est la façon dont nous les résolvons qui nous défini.
Lorsque nous avons un problème, il est humain de tenter d’essayer de trouver une solution. Parfois, cette solution n’est trouvé qu’à l’issue d’un processus très long ou elle peut même ne pas exister. Lorsque nous sommes confrontés à un problème, ce qui commence comme une gêne peut devenir un problème beaucoup plus important par la suit. La définition du problème peut varier d’une personne à l’autre selon la gravité de la situation.
Un problème est tout ce qui entrave nos objectifs ou nos désirs, nous empêchant de les atteindre. En d’autres termes, lorsque quelque chose vous empêche de faire ce que vous voulez faire, cela devient un problème dans votre vie et dans votre esprit.
Ici, je propose une matrice qui va travailler sur 3 aspects : le problème, la solution envisagée et les acteurs concernés qui peuvent soit résoudre ce problème soit proposer une solution.
A quoi ressemble cette matrice ?
Une matrice est une grille à deux dimensions qui peut être utilisée pour mettre un problème en évidence. Les lignes et colonnes de la matrice correspondent à différents aspects du problème et l’intersection de chaque ligne et colonne correspond à une solution possible.
Celle-ci peut être utilisé de manière physique, c’est à dire sur un mur ou sur une table mais également à distance avec des outils comme par exemple Miro, Draft, Klaxon (je vous propose d’ailleurs un template de la matrice sur Miro).
Comment se déroule cet atelier ?
Réunissez des personnes de divers horizons qui peuvent contribuer de manière différente. Attention, cela ne veut pas dire que nous travaillons ici pour actionner l’intelligence collective 🙂 (D’autres paramètres rentrent en jeux : autonomie, sens, but, objectif connu, diversité… quoi que).
Si vous réunissez un groupe pour trouver collectivement des solutions, le cadre est indispensable.
Pourquoi sommes nous réunis ici et maintenant ?
Pour accomplir quoi ?
Comment cela va-t-il se passer ?
Qu’attendons-nous du groupe ?
Existe-t-il une diversité importante des acteurs ?
Quels sont les règles associées ? temps, distribution de la parole, planning…
1 – L’invitation
C’est ici que tout démarre ! Mais attention ici ce n’est pas cette invitation dans l’agenda mais bien un message individuel, personnalisé à l’intention des personnes que vous souhaitez voir dans votre atelier.
En tant qu’organisateur (managers, directeurs, dirigeants, RH, facilitateurs … ca marche pour tout le monde)
« J’aurais besoin de toi ici pour … « , « Je pense que tu peux apporter à l’atelier car … », » Tes connaissances font de toi la bonne personne pour … » , « J’aimerais vraiment te voir dans cet atelier car … », « Ton expertise de ce sujet serait d’une aide géniale pour …
He oui, cela prend du temps ! Mais croyez moi cela change tout.
Nous avons besoin de nous sentir impliqué dans quelque chose pour participer pleinement.
Ici vous êtes la personne qui invite une autre personne à venir s’impliquer dans le groupe. Vous lui donnez la permission de pouvoir s’exprimer pleinement. En retour, le but sera plus clair pour elle. Un véritable cadeau que vous lui faites !
2- Nous ici et maintenant
🧭 Prenez le temps d’expliquer l’objectif de cet atelier :
Pourquoi sommes nous là ?
De quelle situation parlons-nous ?
Qu’attendez vous du groupe ?
Quels sont les critères de succès selon les participants ?
Quel est mon rôle ? organisateur, animateur, facilitateur … ?
Allez vous participer comme les autres ou avez-vous une posture particulière ?
Ce moment est PRIMORDIAL : sans exposer la situation que vous souhaitez résoudre, peu de chance que quelque chose se passe. Sans compter le manque d’alignement sur l’objectif de l’atelier.
Petite astuce : écrivez cette intention pour que tout le monde puisse la voir en permanence.
Allez on se lance.
3 – Recherche
Une fois ces éléments présentés et que chaque participant-e se sent à l’aise avec votre intention, proposez à chacun de lister sur des post-it les problèmes qu’ils rencontrent face à la situation proposée (au début de l’atelier)
1 problème = 1 post-it
Exemple de situation » Les ventes de nos moteurs sont en baisse de 12% depuis le trimestre dernier »
(Soyez le plus univoque, explicite et précis possible dans la définition de la situation)
Exemples de problèmes éventuels : « Départ de 3 commerciaux » , »La chaine de production ne suit par le rythme » , « Notre systeme de réservation de commandes est plus lent depuis la dernière mise à jour » , » Nous manquons de pièces » …
4- Présentation
Chaque participant (acteur) présente oralement et rapidement chacun de ses problèmes avec un exemple concret de ce qu’il a pu observer face à cette situation.
Le concret permet de rendre plus compréhensible le sujet évoqué. Un peu comme une histoire « Quand j’étais sur la ligne de production, je voyais Julien manquer de pièces… »
Attention ici aux dérives et aux débats qui peuvent s’installer. Prévenez le groupe que chaque personne à ce droit de s’exprimer le plus librement possible. C’est sa perception des choses ! C’est ce que nous recherchons.
Faites le tour de chaque participant. (si bien sur il ou elle a quelque chose à proposer)
📝 Placez ces post-its de manière linéaire .
5 – Les acteurs
Lister tous ensemble les divers acteurs concernés par les problèmes cités ci-dessus.
Cela peut être les acteurs présents dans votre atelier mais cela peut également être des acteurs extérieurs.
Le but n’est pas de pointer du doigt les acteurs en défaut mais bien de lister les acteurs concernés par ces problèmes et la situation initiale.
Exemple : « Les clients », « Les chefs de projet », « Les commerciaux », « Le codir »
Mais cela peut aussi être plus nominatif avec uniquement les participants de l’atelier.
Exemple : Pierre, Jules, Julie, Mélanie, Catherine, Brice
1 prénom/acteur = 1 postit
Placez les post-its de manière verticale pour créer une matrice à deux niveaux.
5- Votre matrice
Votre matrice est prête ! Maintenant à vous de jouer.
Pour chaque acteur/personne listé, il convient de mettre en face les problèmes que vous avez listé au début de l’atelier.
Exemple : « Le Codir » voit « Départ de 3 commerciaux » , »La chaine de production ne suit par le rythme » , … ainsi de suite
Maintenant proposez pour chaque acteur une intention, une solution, une action, une idée.
Mais comment.
Chaque ligne et chaque colonne laissent une place libre pour amener une solution pour le problème du dessus.
Deux possibilités :
chaque acteur pour proposer une solution pour lui « Moi je propose », « Nous proposons cette idée, cette action … »
ou chaque acteur peut recommander une solution pour un autre acteur « Nous pensons que cette personne pourrait », … le but étant ici d’inviter les personnes avec des idées, des solutions mais en aucun cas des critiques. Juste des suggestions d’améliorations
Prenez le temps de poser les post-it, poser des questions si ce n’est pas clair, demandez une clarification …
6 – Amélioration sans relâche
Suite à la présentation des solutions, demandez à chaque acteur de prendre une action concrète qui répond à une des solutions. Mais comment ?
Une action rapide à mettre en place en moins de 72h (le but n’étant pas d’être à 72h mais surtout d’être dans une dynamique rapide avec des résultats souhaités rapidement)
Une action à un mois.
Pour poser ces actions pour pouvez par exemple utiliser QQOCQP ou SMART (allez hop une idée d’article pour le blog 😂 )
Toutes les cases n’ont pas l’obligation d’être remplies.
Exemple d’affichage de l’action sur un post-it
7- Pour terminer ?
Déterminer une seconde date de rencontre pour affiner cette matrice, proposer de nouvelles solutions et de nouvelles actions. A ce stade, il vous manque peut-être d’autres acteurs que vous pourrez ajouter. Demandez aux participants actuels pour savoir qui pourrait invité à ce point.
Représentation graphique et planning de la matrice des solutions.
Quels sont les avantages de cet atelier ?
Rapide et simple à mettre en place
On se concentre sur les solutions et les actions associées
La possibilité de faire vivre un atelier avec les bonnes personnes
Se mettre en mouvement rapidement
Partager ses faits et ses ressentis
On parle ici d’amélioration continue, sans relâche :
L’amélioration continue est une philosophie basée sur l’idée de ne jamais se contenter d’une qualité inférieure. Cela implique un engagement continu à améliorer les produits, les processus et les services. L’amélioration continue est un processus qui devrait se produire à tout moment, car il est important de ne jamais vous contenter de moins que votre meilleur travail. Commencez à mettre en œuvre l’amélioration continue de votre travail dès aujourd’hui !
Les tips pour faciliter cet atelier :
Il n’est pas simple de vous partager toutes les astuces pour faciliter cette rencontre. L’objectif n’étant pas d’avoir un guide complet de facilitation de cet atelier mais d’avoir les grandes lignes.
Pensez à bien gérer le temps de chaque étape
Demandez à quelqu’un de noter les idées
Partagez un agenda pour que chaque personne puisse identifier les étapes
Affichez l’objectif de l’atelier dès le début
Se concentrer sur les gros irritants de chacun (limiter le nombre d’idées au risque d’avoir une grand matrice)
Regroupez différentes personnes en fonction de leurs rôles (chefs de projet, managers, rh, directeurs …)
La liste pourrait être longue 😃
Vous souhaitez animer cette atelier dans vos équipes ? Contactez-nous ou bien consultez notre catalogue d’in’box.
Identifier les problèmes est une chose, se focaliser sur les solutions à mettre en oeuvre en est une autre. La Matrice des solutions vous propose une astuce supplémentaire pour résoudre les problèmes que vous rencontrez quotidiennement.
La recherche de solutions grâce aux 6 chapeaux de Bono
Dans son livre Six Thinking Hats, Edward de Bono explique comment les six chapeaux peuvent nous aider à identifier et à résoudre un problème.
Les six chapeaux constituent un outil pour la pensée créative. Ils nous aident à décomposer les problèmes en éléments gérables et à y voir plus clair. Nous pouvons les utiliser lors d’un atelier ou pour une réflexion personnelle.
Au cours d’un atelier, l’animateur demandera aux participants de mettre une « casquette de réflexion ». Il s’agit d’une métaphore pour parler d’un changement de perspective et de mentalité.
Les six chapeaux sont :
Le chapeau blanc – pour l’objectivité et la responsabilité
Le chapeau rouge – pour les sentiments et les émotions
Le chapeau noir – pour la critique
Le chapeau jaune – pour la créativité
Le chapeau vert – pour la croissance et le renouveau
Et le chapeau bleu – pour l’équilibre, la concentration et la tranquillité.
Au cours des dernières années, beaucoup ont fait l’expérience d’un atelier appelé « Six chapeaux de réflexion ». L’atelier est conçu pour enseigner comment penser de manière créative en utilisant six chapeaux différents. Les six chapeaux sont : blanc pour les faits, rouge pour les émotions, noir pour l’évaluation des risques, jaune pour la pensée logique, vert pour la créativité et bleu pour l’intuition.
Cette activité peut être utilisée dans diverses situations. Elle peut par exemple, être utilisée lors d’une séance de réflexion après la réalisation d’un projet ou bien encore lors de sessions de brainstorming ou même avant/après les réunions avec les clients pour discuter de l’avancement de leurs projets.
Sketchnote sur les 6 chapeaux de Bono.
La théorie des 6 chapeaux est une idée puissante qui a été introduite pour la première fois par le consultant en management américain Edward de Bono. L’idée implique que chaque chapeau représente un point de vue ou une façon de penser différent du problème.
La théorie des 6 chapeaux a été utilisée dans des ateliers pour amener les participants à travailler sur le même problème mais sous des vues différentes puis à les amener à se réunir pour résoudre ensemble ledit problème. Le but n’est pas seulement de résoudre des problèmes mais aussi de prendre le temps de la réflexion.
Les 6 chapeaux pour parcourir une variété de points de vue et prendre de meilleures décisions.
Il aidera également les participants à découvrir les six chapeaux de réflexion et à les utiliser dans diverses situations. Les participants travailleront en groupes, au sein desquels ils s’exerceront à utiliser les chapeaux, puis réfléchiront à ce qu’ils ont ressenti lors d’une activité de réflexion segmentée.
Cette technique est l’une des nombreuses façons d’améliorer et de développer la conscience de soi au travail. Cela permet aux individus de prendre du recul et de regarder leur travail sous un angle différent, ce que nous devrions tous faire plus souvent.
MOST est un outil crée par des business analysts afin de mettre en évidence la mission de l’entreprise, les objectifs quelle souhaite atteindre, la stratégie mise en oeuvre pour y parvenir et le plan tactique mis en place pour y répondre. Cet outil permet à une organisation de structurer sa réflexion de façon collective quant à la destination correspondant à l’état désiré qui devient dès lors, la mission de l’organisation.
La vision globale de l’entreprise sera le point de départ duquel découleront les 4 axes sus cités.
Décomposons M.O.S.T
MISSION
M: mission de l’entreprise, que souhaite-t-on atteindre à telle échéance? comment pourrons-nous voir que cela a été un succès? Dans la plupart des cas c’est le management qui définit le MOST à décliner par la suite
Questions que nous pouvons nous poser :
Quels changements souhaitons-nous opérer ?
Qu’aimerions-nous voir de différent ?
Que va-t-il arriver à notre organisation .
Qu’aimerions accomplir de majeur ses prochaines années ?
OBJECTIFS
O: objectifs qu’une organisation souhaite atteindre à moyen/long terme (3 mois à un an maximum).
Questions que nous pouvons-nous poser :
Comment verrons-nous cela s’accomplir ?
Quelle différence cela produirait dans notre organisation ?
Comment allons-nous mesurer la réussite de cette mission ?
Quel but souhaitons-nous atteindre ? comment le mesurer ? comment savoir que cela a été un succès ?
Astuces :
Pensez à la notion d’objectifs SMART
Spécifique
Mesurable
Atteiganble
Realiste
Limité dans le temps/Durée/Temporellement défini
Il existe aussi le QQOQCCP : pour « Qui ? Quoi ? Où ? Quand ? Comment ? Combien ? Pourquoi ? »
STRATEGIE
S: stratégie: ce que l’on met en place pour atteindre les objectifs précédemment déterminés, permettant eux-mêmes de remplir la mission. Exemple : Cela peut passer par le recrutement de nouveaux collaborateurs, créer d’avantage de transparence, susciter plus d’engagement/ d’implication au sein des équipes.
Questions que nous pouvons nous poser :
Quel grands axes aimerions-nous emprunter ?
Quelle différentes approches verrions-nous ?
Quel chemin devons-nous emprunter ?
TACTIQUE
T: tactique: une fois la stratégie définie , il convient d’établir la tactique pour mettre en œuvre cette dernière.
Ici c’est, l’ensemble des moyens que l’on emploie pour parvenir à cette stratégie. On parle d’éléments tangibles, actionnables, réalisables et réalistes.
Questions que nous pouvons nous poser :
Que faire pour se mettre en mouvement ?
Comment faire un petit pas vers cette stratégie ?
Quel petit truc ferait vraiment la différence ?
exemple concret: nous souhaitons augmenter le nombre de recrutements au sein des équipes. Un des plans tactique serait de contacter les cabinets de recrutement, de lancer une politique de marque employeur, de créer des systèmes de cooptation… Nous sommes là dans de l’intention plus formelle, plus posée.
Il est intéressant de répartir ces 4 étapes entre les différents acteurs de l’organisation.
D’une part les parties Mission et Objectifs pour le management voire le top management sur certains points( en fonction de la taille de l’organisation). Cela peut également fonctionner avec des équipes, des départements, des domaines voire même encore plus gros. A contrario cela peut également fonctionner sur de petites échelles ou des communautés de pratiques.
Les personnes qui font, qui sont sur le terrain, se verront confier les notions de stratégie et de tactique.
Ce qui est intéressant avec le MOST c’est de le construire tous ensemble, de le partager, de le rendre unique, visible, et surtout challengeable.
Nous vous proposons ci-dessous des exemples de canvas que vous pouvez réutiliser. Il s’agit d’un moyen permettant de discuter, comprendre, créer de la compréhension partagée entre les divers acteurs d’une organisation du plus « haut » au plus « bas » niveaux afin que ce dégage une stratégie d’alignement entre les individus afin de créer les interactions qui soient le plus profitables à toutes et à tous.
Je vous invite ainsi à regarder comment cet outil pourrait résonner dans vos organisations, vos équipes, parmi vos managers, vos directeurs et sur la façon de le mettre en place chez vous.
Nous vous invitons à découvrir notre In’Box dédiée au MOST. N’hésitez pas à revenir vers nous si vous souhaitez que nous mettions en place ce type d’atelier que ce soit au niveau d’une équipe en particulier ou de votre organisation au sens plus large du terme. Il s’agit d’un outil simple mais d’une redoutable efficacité et qui a fait ses preuves à de maintes reprises en ce qu’il permet vraiment d’aligner les individus et de créer des interactions constructives.
L’outil M.O.S.T peut se décliner de diverses manières:
simple avec une pyramide (cf canvas ci dessous)
plus élaborée dit management visuel, accessible par tous et permettant de faire un état des lieux en permanence de l’état d’avancement de la mission. Ce canvas permet vraiment de créer une cohésion, les interactions les plus saines possibles au sein des organisations. Il s’adresse à tous types d’organisations et il permet de créer un alignement à tous les niveaux. Le facteur commun étant d’avoir une réelle volonté de s’aligner sur une intention commune et sur un plan tactique commun.
Dans quels cas pourriez-vous utiliser le M.O.S.T ?
pour définir un plan stratégique sur les prochains mois
débuter une nouvelle année avec son équipe
s’organiser et partager les différents enjeux d’une organisation
mettre au clair la mission de son entreprise/organisation/equipe
A qui cela s’adresse ?
Aux directeurs et aux dirigeants
Aux managers
Aux coachs pour aider leurs clients à découper la réflexion
Aux associations
Aux collectivités territoriales
… les choix sont nombreux.
Astuces d’Insuffle pour réussir cet outil.
Prenez bien le temps de parcourir les étapes les unes après les autres
Le niveau du dessus influencera les niveaux du dessous
Mettez à jour régulièrement les stratégies et les tactiques à mettre en oeuvre
Pensez à le rendre visible de toutes et tous
Pour conclure, nous pourrions résumer le MOST par ces 4 interrogations:
Qui sommes-nous et que souhaitons nous atteindre.
Comment saurons-nous que nous l’avons fait
Comment allons-nous nous y prendre pour y parvenir
Que faire concrètement pour y arriver.
N’hésitez pas à nous solliciter si vous souhaitez rejouer le MOST chez vous, ce sera l’occasion de pouvoir partager avec vous les retours d’expérience.
Prenons rendez-vous et organisons, chez vous ,votre M.O.S.T ! Un must have 🙂
Restez connectés, nous allons prochainement organiser un atelier autour du MOST pour que l’on puisse jouer tous ensemble et en faire profiter un maximum de personnes.
Imaginons que votre organisation soit au top, à quoi les autres le verraient ? Prenons rendez-vous ensemble 👇🏼
Qui n’a pas connu ces petits moments difficiles en début de réunion.
La dynamique d’une réunion à distance se joue à la préparation mais aussi dès les premières minutes. Si l’ambiance, la dynamique et le sourire sont présents c’est l’occasion de bien se lancer.
Le but ici n’est pas de faire participer toute le monde comme à un Ice Breaker mais bien de créer cette petite dynamique. Participe qui veut.
Cela permettra aux retardataires de se connecter et de profiter de ces quelques minutes avant la bataille 🙂
Je vois régulièrement à distance, des petits moments génants au démarrage. Les personnes surfent de réunions en réunions, et se coupe ainsi du groupe. Certaines réunions sont très peu participatives et ce, pour diverses raisons (engagements, règles non partagées, …)
Il existe de nombreuses manières pour créer un cadre agréable et avoir ainsi des réunions efficaces ; dans cet article je vous poste des petites astuces pour bien démarrer une réunion.
Ces petites astuces sont très rapides à mettre en place. Max 5 minutes.
L’occasion de faire patienter les premiers arrivants.
Alors si vous êtes « l’animateur » ou le facilitateur d’une réunion, cette liste dynamisera vos démarrages de réunions.
La liste des 11 astuces
📌 Racontez un petit moment gênant d’une de vos réunions et proposez aux participants de le faire aussi.
📌 Testez l’IEP : un moyen rapide d’obtenir un état de santé de votre équipe ( Comment va mon équipe ? )
📌 Demandez aux participants de partager rapidement une image qui caractérise leurs états d’esprits (avec une affiche de film, un smiley …)
📌 Partagez un nouvel outil que vous avez pu tester.
📌 Partagez un lien d’un site internet super sympa. Chaque participant pourra lui aussi en proposer.
📌 Racontez une petite blague ou une petite devinette et/ou demandez aux membres du groupe d’en proposer aussi.
📌 Demandez de partager une petite anecdote (une réunion, un atelier, un échange …)
📌 Proposez aux participants d’écrire un mot dans le chat ; à une autre personne (qui se désignera d’elle même) d’écrire un mot à la suite etc… l’objectif étant de créer une petite histoire.
📌 Partagez votre écran et jouez rapidement à GeoUser. Site qui affiche la photo issue de Google Maps d’un lieu que vous devez réussir à positionner sur une carte. https://www.geoguessr.com/.
📌 Si vous souhaitez réaliser un petit tour de table virtuel, proposez d’allumer la caméra pour que chacun se présente. Ajoutez une règle simple en plus ; que chacun se présente accompagné d’un objet qui le caractérise le plus. Cela rend l’approche moins conventionnelle.
Ces idées peuvent paraitre bêtes à exécuter; testez et vous verrez comment la dynamique dans vos réunions changera.
Ne forcez personne à faire ce genre d’exercices, le résultat pourrait être contre productif.
Si vous cherchez des idées d’icebreaker, consultez le livre « Ice Breaker Cook Book ».
Voici donc une liste de questions puissantes rien que pour vous !
Poser une question, c’est la possibilité de créer de nouvelles interactions, de nouvelles options pour la personne qui y répond. C’est également un espace d’écoute pour comprendre l’autre.
Nous vous proposons ci-dessous, une liste de 100 questions que vous pourrez poser lors de vos accompagnements, 1to1, codir, coaching, facilitation, animation, entretien annuel …
Elles sont toutes orientées sur un état désiré. La réponse attendue sera construite et structurée pour trouver une solution et ne pas rester bloqué sur un problème. Ce ne sont pas des questions fermées ( ex: oui ou non) mais bien des questions puissantes et ouvertes.
Poser la bonne question c’est comme avoir un super pouvoir. Un pouvoir qui permet à la personne interrogée de trouver ses propres solutions.
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Ces questions ont toutes la même structure. Elles offrent un espace de réflexion orienté sur un futur/état désiré/solution et sont impliquantes. Elles vont permettre de construire un véritable échange et de créer des espaces de mouvement pour vous et pour votre interlocuteur.
Il n’y a pas de classements particuliers ; ces questions peuvent adresser plusieurs sujets comme comprendre « la réalité » d’une personne, définir un objectif, un état désiré, une fierté, une action, une mise en mouvement …
À vous de créer la question qui sera la plus percutante pour votre interlocuteur.
Le but ici n’est pas de vous démontrer la force de ce type d’interactions orientées solutions mais simplement d’être dans le partage.
De quoi avez-vous été le plus fier aujourd’hui/cette semaine … ?
Qu’est-ce qui a été le plus important selon toi ?
Quelle idée d’amélioration aimerais-tu proposer ?
Quelle petite chose aimerais-tu changer dans le ____ ?
Que faudrait-il vraiment arrêter de faire ?
Que faudrait-il vraiment changer dans notre mode de fonctionnement ?
Qui t’a le plus aidé ces derniers jours ?
Si tu devais recommencer quelque chose, que ferais-tu ?
Qu’est-ce qui te motive le plus ?
Quelle est la meilleure chose qui pourrait nous/lui/vous arriver ?
Qu’es-tu prêt à faire différemment ?
Si tu devais prendre une action d’amélioration, que ferais-tu ?
D’après toi quel est le plus grand obstacle de ________ ?
Quelle question aimerais-tu que je te pose ?
Imagine que tout soit au top, a quoi cela ressemblerait ?
Si vous aviez une baguette magique, où aimeriez-vous vous retrouver à la fin de cette conversation?
Comment voudriez-vous que cela soit?
Quelle différence aimeriez-vous voir à la fin de cette journée ?
Quelle différence aimeriez vous voir après mon départ ?
Que direz-vous à vous-même?
Projetez-vous dans trois mois. Tous vos obstacles ont été levés et vous avez atteint votre objectif, à quoi cela ressemblerait ?
Quelle est l’ambition à partager ?
Quel projet vous a fait le plus plaisir ?
Quel est le véritable enjeu ici et maintenant ?
Quels résultats cherchez-vous dans _____?
Que désires-tu profondément ?
Et si tu ne faisais rien ? Que se passerait-il ?
Qu’est-ce qui te motive le plus ?
Que feriez-vous si tout était possible ?
Que feriez-vous comme petit pas qui ferait une vraie différence ?
Que se passerait-t-il si tout se passait bien ?
Quel message aimeriez-vous envoyer à votre vous du futur ?
Supposons que tout soit bien passé, qu’observerez-vous ?
Qu’est-ce que serait un objectif inspirant pour vous?
Que se passe-t-il en ce moment?
À quel point est-ce important pour vous?
De quoi as-tu besoin pour prendre cette décision ?
Et si tu devais faire un voeux, lequel serait-il ?
Imagine que tu aies une baguette magique, que changerais-tu ?
Si j’étais « untel », qu’aimerais-tu me dire ?
Supposons que cette situation soit totalement rétablie, que verrais-tu ?
À quoi ressemblerait une situation idéale à tes yeux?
Si demain on supprimait ton plus gros problème, à quoi cela ressemblerait-il ?
À quoi verras-tu que ce moment a été important pour toi ?
Comment verras-tu que cette réunion a été un succès?
Comment avancer vers ton objectif ?
Quelle est l’étape suivante ?
Quelle est la chose la plus importante que vous aimeriez réussir aujourd’hui ?
Qu’aimeriez-vous accomplir aujourd’hui ?
Comment saurez-vous que vous avez progressé ?
Qu’espérez-vous de mieux ?
Qu’est-ce qui va être différent ?
Qu’allez-vous observer ?
Selon vous, que faudrait-il faire pour que cela se (re)produise ?
Il est 16h30, vous êtes satisfait parce que ?
Qu’aimeriez-vous lire demain matin dans votre boite mail ?
À quoi voyez-vous que l’équipe est satisfaite ?
Comment saurez-vous que cette « formation » aura été un succès ?
Quelle chose a été la plus précieuse dans cette « formation » ?
Imaginons que votre état désiré soit à un pas de vous, quel pas faudrait-il faire ?
À quoi verrez-vous que cette réunion a été utile ?
Supposons que tout se passe bien, que verrez-vous de différent ?
Comment rendre cette journée/réunion inoubliable ?
Quelle nouvelle approche vous ferait rêver?
Si je pouvais exaucer un vœu pour cette session, lequel serait-il?
Qu’aimeriez-vous qu’il se passe et qui ne se passe pas maintenant, ou que voudriez-vous qu’il ne se passe pas actuellement?
À quoi ressemble le succès?
Comment saurez-vous que vous avez atteint votre état désiré ?
Que faudrait-il de plus pour que ce succès devienne inoubliable ?
Comment voudriez qu’on vous voit ?
Quel est ce petit plus qui ferait une vraie différence en vous ?
Comment saurez-vous reconnaître que vous êtes arrivé ?
À quoi ressemble votre destination idéale ?
Quels pièges faudrait ils vraiment éviter ?
Qu’est ce qui ne faudrait surtout pas retrouver sur la route ?
Si vous ne deviez garder qu’une seule action, laquelle serait elle ?
Imaginons que vous soyez au top , à quoi les autres le verraient ?
Que faudra-t-il faire pour passer de l’intention à l’action ?
À quoi ressemblerait une décision idéale ?
Quelle approche doit-on impérativement garder ?
Quels succès professionnels partagez-vous fièrement durant un repas de famille ?
Comment savoir que cette réunion vous a apporter quelque chose ?
Et si on le faisait. Que se passerait-il ?
Qu’apprécierais-tu de découvrir demain matin en arrivant au travail ?
Quels sont les éléments qu’il faudrait conserver pour la semaine prochaine ?
Quel impact espères-tu ?
Quelle route peux-tu créer pour atteindre ton objectif ?
Quel bénéfice aimerais-tu obtenir suite à ______ ?
Qu’est-ce qui sera différent après notre échange ?
Supposons que tout soit au top dans _____, que verrais-tu de différent ?
Supposons que tu es arrivé à ton objectif, comment verras-tu que cela a été un succès ?
Quel succès aimeriez-vous reproduire ?
Qu’est ce que tu attends comme succès pour ___ ?
Imagine que notre ____ (réunion, atelier …) se déroule à merveille, raconte-moi cette réussite ?
À quoi voyez-vous que l’autre personne vous écoute ?
Qu’aimeriez-vous découvrir dans _____ ?
Supposons que tu arrives à atteindre ce que tu veux, qu’est ce que cela change en toi ?
Quel petit progrès verras-tu dès demain matin ?
Et si cela arrivait, qu’est ce que cela changerait pour toi ?
Ne rêvez plus, agissez ! Votre atelier collaboratif sur mesure n’attend que votre ambition pour changer le jeu.