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Les 10 avantages d’avoir un facilitateur durant un atelier ou une réunion ?

Les avantages d’avoir un facilitateur en intelligence collective en entreprise sont similaires à ceux d’avoir un facilitateur en général en entreprise. Tout d’abord, un facilitateur en intelligence collective peut aider à améliorer la communication et la collaboration au sein de l’entreprise, ce qui peut conduire à une meilleure productivité et à des résultats plus satisfaisants.

En outre, un facilitateur en intelligence collective peut aider à rassembler les idées et les perspectives de chacun des membres de l’entreprise pour favoriser l’émergence d’idées innovantes et de solutions créatives. Cela peut être particulièrement utile dans le cadre de la résolution de problèmes complexes ou de la prise de décisions importantes.

De plus, un facilitateur en intelligence collective peut aider à organiser et à mener des réunions et des sessions de travail de manière efficace, en veillant à ce que toutes les voix soient entendues et que les objectifs soient atteints de manière adéquate.

Enfin, un facilitateur en intelligence collective peut être un excellent catalyseur pour l’innovation et la créativité au sein de l’entreprise, en encourageant l’expression des idées et en facilitant leur mise en œuvre. En somme, les avantages d’avoir un facilitateur en intelligence collective en entreprise peuvent être nombreux, allant de l’amélioration de la communication et de la collaboration à la résolution de problèmes complexes en passant par l’organisation et la conduite efficace de réunions et de sessions de travail.

1. Un facilitateur peut aider à maintenir un ordre et une structure dans l’atelier ou la réunion, ce qui peut être particulièrement utile lorsque de nombreux sujets différents sont abordés.

2. Un facilitateur peut aider à gérer le temps de parole de manière équitable, ce qui permet à tous les participants de s’exprimer et d’être entendus.

3. Un facilitateur peut aider à résoudre les conflits ou les problèmes qui pourraient survenir pendant l’atelier ou la réunion, en jouant un rôle de médiateur.

4. Un facilitateur peut aider à maintenir un niveau d’engagement élevé chez les participants en animant les discussions et en veillant à ce que les sujets abordés restent pertinents.

5. Un facilitateur peut aider à clarifier les objectifs de l’atelier ou de la réunion et à faire en sorte que les participants comprennent ce qui est attendu d’eux.

6. Un facilitateur peut aider à établir des règles de participation pour garantir que tous les participants puissent s’exprimer et participer pleinement.

7. Un facilitateur peut aider à collecter et à synthétiser les idées et les suggestions des participants pour les utiliser dans la suite de l’atelier ou de la réunion.

8. Un facilitateur peut aider à gérer les différents aspects logistiques de l’atelier ou de la réunion, ce qui peut être particulièrement utile lorsque de nombreux participants sont impliqués.

9. Un facilitateur peut aider à garantir que les décisions prises lors de l’atelier ou de la réunion sont mises en œuvre de manière efficace et que les résultats sont suivis.

10. Un facilitateur peut aider à créer un climat de confiance et de respect au sein de l’atelier ou de la réunion, ce qui peut favoriser une participation active de tous les participants.

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Le triangle dramatique de Karpman

Le triangle dramatique de Karpman est un modèle théorique qui a été développé par Stephen Karpman pour expliquer les différents rôles que les individus peuvent jouer dans les conflits interpersonnels. Selon ce modèle, les individus impliqués dans un conflit peuvent adopter trois rôles différents : celui de l’agresseur, de la victime ou du sauveur.

Le rôle de l’agresseur est celui qui prend l’initiative dans le conflit et qui cherche à imposer sa volonté aux autres. Le rôle de la victime est celui qui subit les agressions de l’agresseur et qui se sent impuissant face à la situation. Le rôle du sauveur est celui qui intervient pour protéger la victime de l’agresseur et qui tente de résoudre le conflit.

Selon le triangle dramatique de Karpman, ces trois rôles sont interdépendants et peuvent être constamment en train de changer au cours du conflit. Par exemple, la victime peut devenir agresseur en répondant à l’agression initiale, et le sauveur peut devenir agresseur en imposant sa volonté pour résoudre le conflit.

Le triangle dramatique de Karpmann est un outil utile pour comprendre les dynamiques des conflits interpersonnels et pour trouver des solutions pour les résoudre de manière équitable et respectueuse.

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Le Marshmallow Challenge

L’activité du Marshmallow Challenge peut nous apprendre plusieurs choses sur l’innovation et l’intelligence collective. Tout d’abord, elle montre que l’innovation et la créativité peuvent émerger lorsque les individus travaillent ensemble de manière collaborative et inclusive. En effet, en travaillant en équipe, les participants peuvent échanger des idées et des perspectives différentes, ce qui peut les aider à trouver des solutions plus originales et plus efficaces.

En outre, l’activité du Marshmallow Challenge met également en évidence l’importance de la communication et de la coopération au sein d’un groupe pour atteindre un objectif commun. En travaillant en équipe, les participants doivent apprendre à écouter les idées des autres, à s’entraider et à travailler en synergie pour atteindre leur objectif.

Enfin, l’activité du Marshmallow Challenge peut également nous montrer l’importance de la prise de risques et de l’adaptabilité dans le processus d’innovation. En effet, pour réussir l’activité, les participants doivent être prêts à expérimenter de nouvelles approches et à s’adapter rapidement si leur première stratégie ne fonctionne pas. En somme, l’activité du Marshmallow Challenge peut nous enseigner de nombreuses leçons sur l’innovation et l’intelligence collective, telles que l’importance de la collaboration, de la communication et de la prise de risques dans le processus de création et de résolution de problèmes.

Quelles sont les règles du Marshmallow Challenge ?

Les règles du Marshmallow Challenge peuvent varier selon l’organisateur de l’activité, mais voici quelques règles générales couramment utilisées :

  1. Les participants sont divisés en équipes de quatre à six personnes.
  2. Chaque équipe doit construire la structure la plus haute possible en utilisant des matériaux simples: 1mètre de ruban adhésif, 1 mètre de ficelle, 20 spaghetti, 1 Marshmallow (alias la Guimauve)
  3. Le marshmallow doit être placé au sommet de la structure.
  4. Les équipes ont un temps limité, généralement entre 15 et 30 minutes, pour construire leur structure.
  5. Aucun des matériaux ne peut être collé ou fixé de manière permanente.
  6. L’équipe qui construit la structure la plus haute gagne l’activité.

En général, les règles du Marshmallow Challenge sont conçues pour encourager les participants à travailler ensemble de manière collaborative et à utiliser leur créativité pour trouver des solutions originales.

Vous souhaitez que nous venions animer un Marshmallow Challenge chez vous ?

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Qu’est-ce que la communication non violente ?

La communication non violente (CNV) est une approche de la communication fondée sur l’idée que tous les individus ont des besoins fondamentaux qui doivent être pris en compte dans les interactions sociales. La CNV vise à promouvoir des relations respectueuses et bienveillantes en encourageant l’expression des émotions et des besoins de chacun, sans jugement ni critique. La CNV s’appuie sur l’écoute active et la prise en compte des perspectives des autres pour résoudre les conflits et améliorer les relations interpersonnelles. Elle peut être utilisée dans différents contextes, notamment en entreprise, en famille et dans les relations amoureuses.

Quels sont les avantages de la communication non violente ?

La communication non violente (CNV) présente de nombreux avantages. Voici quelques exemples :

  1. Elle permet d’améliorer les relations interpersonnelles en créant un climat de respect et de bienveillance.
  2. Elle favorise la compréhension mutuelle en encourageant l’expression des émotions et des besoins de chacun.
  3. Elle permet de mieux gérer les conflits en reconnaissant les perspectives de chaque personne impliquée.
  4. Elle contribue à la résolution de conflits en favorisant l’écoute et la compréhension mutuelle.
  5. Elle peut être utilisée dans différents contextes, notamment en entreprise, en famille et dans les relations amoureuses.
  6. Elle peut aider les individus à mieux se comprendre eux-mêmes et à développer leur estime de soi.
  7. Elle peut contribuer à la réduction de la violence et de l’agressivité dans les interactions sociales.
  8. Elle peut améliorer la qualité de vie en créant un climat de confiance et de collaboration.

Quelles sont les techniques de communication non violente ?

Il existe plusieurs techniques de la communication non violente (CNV) qui peuvent être utilisées pour améliorer les relations interpersonnelles et gérer les conflits. Voici quelques exemples :

  1. L’écoute active : il s’agit d’écouter attentivement l’autre personne en prenant en compte ses émotions et ses besoins, sans interruption ni jugement.
  2. L’expression des sentiments : il s’agit de nommer ses propres émotions de manière claire et directe, en utilisant des phrases commençant par « je » pour éviter les accusations et les critiques.
  3. L’expression des besoins : il s’agit d’exprimer ses besoins de manière claire et directe, en utilisant des phrases commençant par « j’ai besoin de » pour éviter les ultimatums et les menaces.
  4. L’empathie : il s’agit de se mettre à la place de l’autre personne pour comprendre ses émotions et ses besoins, en utilisant des phrases comme « je comprends que tu ressens cela » pour montrer de la compassion.
  5. La formulation de demandes : il s’agit de formuler des demandes claires et précises en utilisant des phrases commençant par « pourrais-tu » ou « est-ce que tu pourrais » pour éviter les ordres et les exigences.
  6. La recherche de solutions mutuellement satisfaisantes : il s’agit de trouver des solutions qui tiennent compte des besoins et des intérêts de chacun en utilisant des techniques de brainstorming et de médiation.

Communication non violente et d’intelligence collective ?

La communication non violente peut être adoptée dans un contexte d’intelligence collective en mettant l’accent sur l’écoute active et le respect des opinions des autres. Cela implique de s’efforcer de comprendre les points de vue des autres et de chercher des solutions qui tiennent compte des besoins et des intérêts de chacun. Il peut également être utile d’établir des règles de base pour la communication au sein du groupe, telles que le fait de ne pas interrompre les autres lorsqu’ils parlent et d’éviter les jugements négatifs. En adoptant ces approches, les membres de l’intelligence collective peuvent travailler ensemble de manière plus collaborative et respectueuse.

C’est quoi l’approche O.S.B.D ?

L’approche OSBD en communication non violente est une approche basée sur les principes de la communication non violente développée par le psychologue américain Marshall Rosenberg. OSBD signifie Observation, Sentiment, Besoin et Demande, et cette approche vise à aider les individus à communiquer de manière plus claire, authentique et efficace en se concentrant sur ces quatre éléments clés.

En utilisant l’approche OSBD, les individus apprennent à formuler leurs observations, sentiments, besoins et demandes de manière claire et directe, sans jugement ni critique. Cela peut aider à éviter les conflits et les malentendus, et à favoriser une communication plus ouverte et plus empathique entre les interlocuteurs. En somme, l’approche OSBD en communication non violente vise à aider les individus à mieux se comprendre et à mieux se faire comprendre pour résoudre les conflits et les problèmes de manière pacifique et efficace.

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Quelle est la différence entre l’animation et la facilitation ?

L’animation et la facilitation sont deux approches qui peuvent être utilisées dans les contextes de travail en équipe, de formation ou de développement personnel. Bien que ces deux approches aient des points communs, elles ont également des différences importantes.

La principale différence entre l’animation et la facilitation réside dans le rôle et les responsabilités du facilitateur ou de l’animateur. L’animateur a un rôle plus actif et directif dans le groupe, en prenant en charge la planification et la mise en œuvre des activités, en animant les échanges et en veillant à ce que les participants atteignent les objectifs fixés. Le facilitateur, en revanche, a un rôle plus passif et moins directif dans le groupe, en accompagnant les participants dans leur réflexion et leur prise de décision, en les aidant à résoudre les problèmes et les conflits, en leur offrant un cadre logique et structuré pour leur travail en équipe.

En somme, l’animation vise à créer une dynamique positive et interactive dans le groupe, tandis que la facilitation vise à favoriser l’autonomie et la créativité des participants, en leur offrant un cadre de réflexion sécurisé.

L’animation se réfère à l’art de mettre en vie un groupe ou un événement en suscitant l’intérêt et l’engagement des participants. L’animateur est responsable de l’ambiance générale du groupe et de la dynamique de l’événement, en utilisant des techniques de divertissement, de motivation, de créativité, etc. L’objectif de l’animation est de susciter l’enthousiasme et l’engagement des participants, pour rendre l’événement plus agréable et plus productif.

La facilitation, en revanche, se réfère à l’art d’aider un groupe à atteindre des objectifs précis en facilitant la communication, la coopération et la prise de décision. Le facilitateur est un guide impartial qui accompagne le groupe dans le processus de réflexion et de décision, en utilisant des techniques d’écoute active, de questionnement, de recadrage, etc. L’objectif de la facilitation

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La Facilitation en sketchnote

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C’est quoi le Sketchnoting ?

Le terme « sketchnoting » est dérivé de la combinaison de deux mots anglais : « sketch » qui signifie esquisser, dessiner, gribouiller et « note taking », c’est-à-dire une manière de décrire la façon dont les gens créent des représentations graphiques pendant qu’ils écoutent ou, dans d’autres cas, animent des réunions et/ou des ateliers.

L'art du Sketchnoting
C’est quoi le Sketchnoting ?

Qu’est-ce que le sketchnoting ?

Le sketchnoting est l’une des diverses disciplines regroupées sous l’appellation de techniques de « facilitation graphique » telles que le scribing (ou enregistrement graphique), le mindmapping, etc. L’objectif de toutes ces techniques est de faciliter une réunion ou une conférence par une prise de notes plus dynamique et visuellement plus attrayante que la prise de notes traditionnelle.

Les sketchnotes sont une combinaison de dessins et de prise de notes. Il s’agit de notes visuelles prises au cours d’une conférence, d’une réunion, d’un entretien ou d’une interview. Elles combinent texte et dessins afin d’exprimer les idées principales de l’orateur dans un format intéressant et facile à comprendre qui vous aide à mieux vous souvenir de ce qui a été dit.

Pris littéralement, le terme « sketchnotes » est une combinaison de deux termes anglais : « notes » dans le sens de « prise de notes » et « sketch » qui signifie esquisser, dessiner, gribouiller. Le sketchnoting est donc une méthode de prise de notes qui combine l’écriture et le dessin et qui est le plus souvent utilisée « en direct », c’est-à-dire réalisée lors d’un événement (une conférence, une interview, un concert, une réunion, etc.) Mais de nombreux sketchnoteurs passent d’abord par une phase de prise de notes classique ou uniquement de mots-clés et/ou une phase de crayonnage pour poser les bases de leur croquis avant de passer au noir et à la couleur.

Pourquoi dessiner quand on peut prendre des notes ?

Dans le sketchnoting, l’objectif principal est de communiquer des idées et des pensées par le biais de dessins et de textes. Si certains sketchnotes sont créés en écoutant une conférence ou en regardant une présentation, de nombreux sketchnotistes préfèrent créer leur art « en direct » lors d’un événement.

Les sketchnotes sont des notes visuelles créées avec un stylo et du papier. Le but du sketchnoting est de capturer les idées et concepts clés d’un orateur, d’un auteur ou d’un sujet et de les communiquer visuellement. Les sketchnotes sont souvent utilisés pour des présentations en direct, mais certains sketchnoteurs créent des sketchnotes pour des livres, des articles ou d’autres documents écrits.

Pourquoi les sketchnotes sont importants dans notre société surchargée d’informations

La prise de notes est une compétence importante pour les étudiants, mais aussi pour les adultes dans un environnement professionnel. La méthode typique de prise de notes consiste à écrire des notes avec un stylo sur du papier. Cependant, il existe d’autres options qui peuvent vous être utiles, comme le sketchnoting.

Raconter une réunion à quelqu’un peut être mémorable et efficace, mais ce n’est pas la même chose que de lui montrer les points clés à travers vos dessins. Les sketchnotes fonctionnent mieux lorsqu’ils sont utilisés pour raconter des histoires et souligner les idées clés d’une réunion.

Raconter une réunion peut être mémorable et efficace, mais ce n’est pas la même chose que de montrer les points clés à travers vos dessins. Les sketchnotes fonctionnent mieux lorsqu’elles sont utilisées pour raconter des histoires et souligner les idées clés d’une réunion.

Le sketchnoting consiste simplement à dessiner des images pour expliquer quelque chose. C’est un moyen efficace de capturer des informations pendant des réunions ou des présentations et de les partager ensuite avec des collègues ou des amis.

Vous souhaitez peut-être prendre de meilleures notes lors d’une conférence ou d’une réunion. Ou vous voulez rendre quelque chose de plus mémorable pour vous-même et vos collègues. Ou peut-être souhaitez-vous simplement apprendre de nouvelles choses en utilisant un mode d’expression différent, moins linéaire et plus intuitif.

Les sketchnotes peuvent être le moyen idéal d’élaborer et de partager ce que vous avez appris sur un sujet particulier. Elles vous obligent à réfléchir aux points clés de votre message et à le présenter de manière digeste. Si ce que vous avez esquissé n’est pas immédiatement compréhensible, cela signifie que vous n’avez pas encore trouvé la bonne façon de le représenter.

CONSEIL : Une erreur fréquente consiste à penser que les croquis et les esquisses doivent être aussi détaillés que possible. L’important, c’est le contenu après avoir vu le croquis. Il importe alors peu que certains éléments soient simples ou inexistants.

Vous souhaitez apprendre à réaliser ce genre d’illustration ?

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10 avantages aux ateliers collaboratifs.

Les ateliers collaboratifs ont de nombreux avantages car ils permettent à des groupes, des équipes et à des individus de répondre aux ambitions qu’ils souhaitent atteindre.

Les ateliers collaboratifs sont un excellent moyen de faire travailler les gens ensemble et de partager leurs connaissances, leurs compétences et leur expérience. Ils sont également un excellent moyen de proposer de nouvelles idées et solutions.

Chez Insuffle, nous construisons des ateliers collaboratifs, adaptés aux ambitions des organisations souhaitant se mobiliser pour atteindre leurs objectifs.

Dans cet article nous vous proposons, les 10 avantages d’ateliers collaboratifs. Mais avant de commencer, voici notre définition d’un atelier collaboratif. Les ateliers collaboratifs sont un excellent moyen de faire couler le jus créatif, de réfléchir à des idées dans une atmosphère sans jugement et de générer de nouvelles idées avec l’aide de votre équipe. Ces derniers permettent de réunir des femmes et des hommes physiquement ou à distance pour construire quelque chose de plus grand que ce qu’une seule personne ne pourrait faire. Les ateliers collaboratifs permettent aussi de renforcer le sentiment d’appropriation. Plutôt que d’avoir une seule personne qui trouve “la bonne solution”, le groupe trouvera “sa bonne solution” ; les résultats en termes d’implication et d’appropriation seront ainsi présents.

Les ateliers collaboratifs ont souvent des dénominations différentes comme workshop, brainstorming, design thinking, atelier co-construction… Des ateliers qui permettent de faire émerger l’intelligence collective.

Les ateliers collaboratifs devraient faire partie de tout cycle de projet, qu’il soit grand ou petit. C’est une opportunité pour l’équipe de partager des idées, d’obtenir des commentaires et de travailler en collaboration. Cela aide également à identifier les forces et les faiblesses de leur processus.

Objectifs des ateliers collaboratifs ?

Les objectifs sont divers et variés, cela passe par la résolution de problèmes, la création d’un nouveau produit/projet, l’amélioration d’un processus inadapté, un produit qui se vend mal, un logiciel trop gourmand en ressources, une équipe qui fonctionne mal, un gâchis dans l’utilisation des ressources dans l’entreprise … L’objectif premier étant de répondre collectivement à un enjeu d’entreprise ou d’une collectivité territoriale.

Nous vous proposons donc les 10 avantages que vous pourriez récolter grâce aux ateliers collaboratifs. Souvent utilisé pour traiter une problématique ou un irritant, son objectif est alors de trouver collectivement des solutions.

L’implication

Certainement l’un des points le plus important. Ces ateliers collaboratifs, s’ils sont correctement préparés, permettent aux groupes et aux équipes qui les composent, de se sentir pleinement impliqués dans la démarche et la recherche de solutions adaptées à leurs contextes.

L’implication c’est le carburant et le moteur interne des équipes pour leur appropriation. Par expérience, quand l’objectif est clair, le sponsor accompagné et les équipes embarquées , l’implication sera alors présente !

La cohésion

La cohésion d’une équipe est le ciment des interactions profitables. Les ateliers collaboratifs permettent de créer un esprit de cohésion au sein de ces dernières.

L’innovation

Innover ne veut pas dire inventer ; innover c’est trouver une façon différente et plus optimale (processus, interactions …)pour une organisation de répondre à ses ambitions. Nous cherchons à créer de petites différences qui feront de grandes différences au sein des groupes que nous accompagnons. Chose étonnante, les solutions trouvées lors de ces ateliers collaboratifs sont rarement les solutions imaginées au départ. Ces ateliers permettent de créer une forme d’innovation propre à chaque entreprise.

S’aligner sur une vision

Cela semble anecdotique, mais s’aligner sur des attentes et une vision commune entre le management et les équipes permet à celles-ci de performer. Que de temps perdu à ne pas se comprendre, imaginer ce que l’autre pense, interpréter des résultats non factuels … Ces ateliers collaboratifs permettent de s’aligner sur une vision commune et partagée.

L’appropriation

Un des atouts qui nous est souvent partagé lorsque nous accompagnons des équipes c’est l’appropriation des livrables créés lors de ces ateliers collaboratifs. En effet, le fait de trouver SA solution, de la décortiquer, de l’affiner … permet aux équipes de se dire “C’est notre solution”, “C’est nous qui l’avons trouvée”.

Très régulièrement, les retours à chaud sont positifs et donnent au groupe une source supplémentaire d’appropriation. Les ateliers collaboratifs sont un formidable moyen de s’approprier pleinement le contenu et les solutions à la demande initiale.

Améliorer l’empathie

L’empathie est la capacité d’un groupe ou d’une personne, à se mettre à “la place” de son client, de ses collaborateurs, de ses managers, de ses salariés… pour comprendre comment “l’autre” vie une situation particulière. Les ateliers collaboratifs offrent la possibilité aux individus qui composent ces derniers de mieux s’imprégner du “ressenti” du groupe.

Ouvrir le champ des possibles

Lors de nos accompagnements et dans de nombreux ateliers collaboratifs, nous aidons les individus à ouvrir le champ des possibles. C’est-à-dire, à ne pas se concentrer immédiatement sur une seule idée mais bien à ouvrir au maximum les différentes options (voire même les plus folles) pour répondre à l’objectif de cet atelier collaboratif. Cette ouverture permet alors une multitude de possibilités qui restent à exploiter . Ou non. Les ateliers collaboratifs offrent cette possibilité notamment grâce à l’intelligence collective de se surprendre à trouver des solutions inattendues mais tout aussi puissantes.

Accepter l’incertitude

L’incertitude nous entoure en permanence ; elle est omniprésente dans nos organisations. Les ateliers collaboratifs sont alors une des solutions possibles pour accepter cette contrainte et offrent même la possibilité d’en faire une force inexploitée par un grand nombre d’organisations.

Plus nous cherchons à contrôler nos certitudes plus notre capacité d’adaptabilité se referme. Ces ateliers collaboratifs offrent un contexte où nous aidons les individus à accepter cette incertitude par le biais d’hypothèses, de questionnements et d’échanges sur le terrain.

Décider plus facilement

Les ateliers collaboratifs constituent une force permettant aux équipes de décider ensemble plus facilement. Nous accompagnons les groupes de différentes manières et avec de nombreuses techniques pour décider plus facilement. Décider c’est faire des choix face à différentes solutions. Il s’agit bien souvent de décisions fortes. Le groupe doit alors avoir une grande partie des outils pour prendre des décisions de manière collective ou aider “les décideurs” à donner les bonnes données pour décider.

Exemple : quels sont les gâchis que nous produisons dans notre chaîne d’assemblage ?

Être plus rapide

Un des atouts des ateliers collaboratifs est la rapidité dans la compréhension d’un contexte, d’une situation, d’une problématique, d’un besoin et d’un nouveau projet. La rapidité est le nerf de la guerre dans les différentes organisations que nous accompagnons. Lors d’un atelier collaboratif, cette rapidité se manifeste par un groupement collectif qui permet de fluidifier le flux de communication, de regrouper les acteurs clés dans un même espace, de parler et visionner la même chose que tout le monde. C’est en ce sens que nous utilisons régulièrement la facilitation graphique comme outil pour répondre à la fameuse question “Tu vois ce que je veux dire ?”. Les ateliers collaboratifs que nous construisons le sont toujours en fonction des attentes du sponsor et du groupe.

Il existe encore de nombreux avantages et bénéfices aux ateliers collaboratifs, comme la motivation, la découverte, l’émergence … Mais attention à un point. Chaque atelier collaboratif doit être construit minutieusement, avec un objectif clair, connu et reconnu de tous et soutien fort du management voulant impliquer ses équipes. Ce n’est en aucun cas, être une forme de manipulation déguisée. Vous perdrez alors tous les bénéfices cités ci-dessus. Il existe des caractéristiques fortes pour ces ateliers collaboratifs.

Vous souhaitez goûter à notre façon de faire (c’est totalement gratuit 😁) pour construire un atelier collaboratif efficace et percutant ?

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Télétravail Blog Equipe Management Réflexions

Le travail hybride : un futur désiré ?

Le futur du travail sera hybride. C’est dit !

Et si le travail hybride devenait une force et non une épine dans le pied des DRH, des managers et des dirigeants ? Sans oublier bien entendu les équipes et les individus qui la composent.

Souvent perçu comme une difficulté supplémentaire, le travail hybride est pourtant une porte ouverte vers le champ des possibles.

La réunion à distance ?

Nous sommes en 2022, les contraintes sanitaires poussent nos organisations à s’adapter aux environnements changeants de manière plus rapide qu’auparavant. Certaines organisations savaient gérer le télétravail complet ou partiel mais la situation actuelle impose aux entreprises de trouver “la bonne” façon de travailler ensemble. De collaborer efficacement.

Les règles changent, l’adaptation est permanente et nécessaire.

Le travail hybride c’est réussir à combiner des rencontres collectives et des moments individuels à distance. Comment faire pour que le travail hybride devienne une véritable force ?

Forcer les équipes à revenir au bureau est-il une nécessité, un besoin?

L’objectif premier est de réussir à repenser de nouveaux “espaces” de travail adaptés aux enjeux de l’entreprise et des collaborateurs.

Le travail hybride sera certainement une norme pour de nombreuses organisations dans les prochaines années. Non pas par contraintes mais par opportunités et gains considérables. Les collaborateurs ont pu goûter à ce mode de fonctionnement qui a ses forces et ses faiblesses.

Un lieu de travail radicalement repensé.

Travailler en mode hybride c’est mélanger le télétravail (travail à distance) et le retour dans les bureaux: les contraintes sont posées.

Un grand nombre d’organisations se retrouvent à devoir jongler entre ces deux espaces ; virtuels et physiques, par choix ou par obligation.

Dans les deux cas, chacun de ces espaces a son importance mais surtout ses forces !

Le télétravail permet de se concentrer d’avantage, d’effectuer ses tâches individuellement, d’échanger avec ses pairs, … C’est le temps individuel “productif”.

Le présentiel permet des moments collaboratifs, spontanés, de team building/training, d’apprentissage collectif, … C’est le temps de la concentration collective.

Aujourd’hui les organisations mélangent ces moments. Ces deux temps ne sont pas séparés.

Certaines personnes sont sur site et d’autres à distance, créant des fossés de compréhension entre les individus. Qu’en est-il de la qualité des relations ? Du stress engendré ? Que cela soit pour les organisateurs ou les participants. Cela ne convient à personne.

Et si dès aujourd’hui ?

L’objectif du télétravail était clairement connu de tous. Des espaces individuels ou des réunions éclairs entre les équipes ? Travailler à distance permettrait dès lors de se concentrer sur ses taches de fonds, de création, de concentration, … Le retour dans les bureaux étant dédié à la collaboration, aux échanges, à la créativité, à l’apprentissage collectif, aux formations, aux pauses café (Oui, oui)… Le tout collectivement. Le travail à distance peut être matérialisé par le fait de travailler dans un espace dédié (pièce identifiée, espace de coworking … )

Il devient alors important de repenser ces espaces de travail. Finis les bureaux individuels faisons place à des véritables espaces où une équipe peut se réunir pour créer, s’améliorer, apprendre, innover, découvrir. Ensemble !

Il devient important de favoriser la qualité des relations et de l’environnement. Créer le bon environnement adapté aux enjeux des équipes. Qui mieux que les équipes peuvent le savoir ?

La collaboration au centre de tout.

Face à des situations de plus en plus complexes, LA solution magique, n’existe plus ! Penser qu’une seule personne ou qu’un groupe déconnecté du terrain opérationnel peut trouver toutes les solutions aux problèmes est totalement impossible. Voire irresponsable.

Il existe 2 terrains différents mais réellement connectés. Le terrain du télétravail et le terrain du bureau. Deux terrains que les organisations essayent de connecter et de déconnecter.

Nous rencontrons de nombreuses organisations qui confondent intelligence collective et intelligence collectée.

L’intelligence collectée réside dans la récupération d’informations comme des sondages, des questionnaires … Mais cela ne se rapproche en aucun cas de l’intelligence collective. Ainsi, le fait de réunir des individus focus vers un objectif commun, collaborant et phosphorant ensemble pour trouver des solutions un problème donné serait-il le début de l’intelligence collective ?

Et si dès aujourd’hui ?

Les managers adoptaient une posture de facilitateurs pour faciliter les interactions, clarifier les problèmes, trouver collectivement des solutions impliquantes aux difficultés rencontrées sur le terrain ?

Les rencontres physiques pourraient être dédiées à :

  • Imaginer les nouvelles formes de collaborations
  • Tester différents outils
  • Imaginer un cadre inspirant et impliquant
  • Innover pour créer de nouvelles choses (produits, projets, organisations …)
  • Prendre du bon temps ensemble pour créer un esprit d’équipe
  • Se former ensemble
  • Créer de nouvelles formes d’interactions
  • Résoudre ses problèmes
  • S’améliorer, améliorer les projets, les processus
  • Clarifier les attentes de chacun.

Se réunir pourrait se faire autrement que chacun derrière un écran. Cela serait l’occasion de véritablement collaborer. Il devient encore une fois nécessaire de repenser les espaces.

Un renouveau managérial

Le travail hybride avec les conditions actuelles peut être vécu de deux manières :

  • C’est imposé, on réagit à la situation
  • C’est une contrainte, jouons avec cette contrainte pour en créer une force.

Certaines organisations confondent flexibilité et adaptabilité. Tordre des choses existantes et espérant que cela tienne dans la durée ou réellement s’adapter aux contraintes.

Chez Insuffle, notre slogan est le suivant : “Faisons bouger votre organisation”. C’est ici très représentatif. Bouger pour atteindre ce que l’organisation(cadre, règles, individus, ambitions …) désire.

S’adapter nécessite de nombreuses compétences comme l’écoute, l’empathie, l’acceptation des échecs, ne pas tout savoir, savoir dire “je ne sais pas”, se remettre en question… En quelque sorte, la conduite du changement dans un monde changeant continuellement .

Pour accompagner ces changements, plus que jamais les entreprises ont besoin des managers.

Et si dès aujourd’hui ?

Les managers prenaient une véritable posture de facilitateur, facilitant les interactions entre les individus ? Le manager pourrait alors être cette huile dans les rouages pour que la communication soit simplifiée, les échanges fructueux et les ambitions reconnues de tous.

Il ou elle pourrait être celui qui aidera à simplifier plutôt qu’à complexifier les choses. Nous avons plus que jamais besoin de simplicité pour gérer la complexité du moment. Cela nécessitera de repenser ce rôle.

Les managers sont alors les piliers du changement mais encore faut-il qu’ils aient toutes les « armes » pour adresser ce monde complexe en le simplifiant. Non en le complexifiant.

Une stratégie claire et reconnue

“Lundi et mardi vous serez sur site, le reste de la semaine, à distance”

“Le gouvernement nous impose 3 jours de télétravail”

S’agit-il d’une stratégie ou bien est ce que ce ne sont que des règles communiquées par mail ou messagerie interne ?

Il est impératif pour toute organisation d’avoir une véritable politique du travail hybride !

1 – Il est primordial d’écouter la préoccupation de ses collaborateurs ce qui implique un effort considérable pour comprendre les contraintes, les attentes et les nécessités de chacun ! Il semblerait plus simple d’imposer des choix. Pourtant ce point est crucial.

2 – Vous devez savoir communiquer une stratégie claire quant à cette politique de travail hybride. Attention à ne pas confondre stratégie et plan tactique.

Et si dès aujourd’hui ?

Chaque individu comprenait les différents temps forts de son environnement. Plutôt que de dire “Venez 2 jours aux bureaux”, oui mais pour quoi? Venir pour être juste visible ? Venir pour “montrer” qu’on travaille ? Venir pour faire des réunions à distance (alors que l’on pourrait faire la même chose de chez soit ) ? Venir pour collaborer ? Venir pour apprendre ensemble ? Venir pour résoudre à plusieurs les irritants du moment ?

Votre stratégie sera le reflet de l’implication de chacun. Soyez clairs, précis et simples !

Il ne s’agit pas de venir juste parce qu’il le  « faut ». Mais pour quoi alors ?

Des outils réellement adaptés

“On a toujours fait comme ça”

“Oui mais la sécurité impose d’utiliser cet outil”

“Oui mais tu comprends, prendre cette licence va coûter cher”

Alors oui même si on parle de travail hybride cela implique de travailler à distance, seul ou à plusieurs. Il est donc nécessaire d’avoir des outils réellement adaptés aux enjeux des équipes.

Dans la même veine, il est important d’avoir les bons outils quand les équipes se retrouvent physiquement : des espaces adaptés à la collaboration et aux échanges et non pas “juste” des salles de réunion.

Et si dès aujourd’hui ?

Les entreprises adoptaient des outils véritablement adaptés aux besoins des équipes et ce, simplement en commençant par les écouter.

Par ailleurs, grand nombre d’outils sont devenus archaïques, vieillissants et limite handicapants. Des outils qui n’ont pas su évoluer avec leur temps. Par définition un outil est là pour aider et simplifier! Peindre avec une perceuse n’est certainement pas la meilleure solution. Posez-vous les questions suivantes : qu’avons-nous besoin d’atteindre ? De réaliser ? Dans quelles conditions ? Plutôt que dire on va prendre cet outil car il nous semble sympa ou que c’est la politique de la maison !

« Oui mais ces outils coûtent très chers! » qu’en est-il de la non efficacité, de la perte de temps, de compréhension, des pertes de connexion …

La sécurité psychologique

En tant qu’individu ai-je confiance en mon environnement, mes collègues et mes managers ? Suis-je dans un contexte de sécurité psychologique ?

Quand on mélange le rythme du télétravail et la présence dans les locaux, il est primordial d’avoir confiance en son environnement. Suis-je “surveillé” dans le travail que je fais ? Est-ce que je reçois des remarques quand je travaille de chez moi ? Je viens juste me montrer au travail par peur du jugement ?

Avec le contexte actuel, la frontière entre la vie personnelle et professionnelle est devenue floue. En tant qu’individu, je dois me sentir en confiance.

Le retour au bureau ne doit pas être perçu comme un moyen de contrôle du management vis-à-vis des équipes. Mais un moment unique pour collaborer bien sur mais également passer des moments conviviaux !

Et si dès aujourd’hui ?

En tant qu’individu, je pouvais me sentir en sécurité pour partager mes contraintes, mes attentes, mes besoins, mes doutes, mes difficultés … sans pour autant me sentir jugé ou montré du doigt.

Cette sécurité psychologique est le nerf de la guerre d’un travail hybride réussi.

Conclusion :

Il devient nécessaire de repenser le travail managérial pour accompagner, soutenir et faciliter le renouveau des différents espaces de travail. Ce changement permanent se fera sur la longueur, dans une confiance mutuelle avec une démarche de sécurité psychologique ! Cela sera à n’en pas douter le futur d’un grand nombre d’organisations, le travail hybride offrant de nouvelles véritables opportunités et permettra aux organisations de se réinventer en organisations collectives et performantes.

La démarche et la politique du travail hybride doivent être menées collectivement afin que chacun puisse se sentir pleinement et consciemment investi dans cette façon de faire.

Le travail hybride pourrait alors bien séparer le temps du travail individuel et le temps du travail collectif avec des espaces physiques dédiés.

Le monde du travail change radicalement ; faire comme avant en espérant des changements n’apportera que des conflits et des tensions dans vos organisations. Bon nombre des collaborateurs se posent en premier la question de l’environnement de travail et du sens.

Chez Insuffle nous accompagnons les organisations dans la mise en place d’environnement propice à la collaboration et à la performance collective. Nous accompagnons les organisations dans la transition optimale vers le travail hybride.

Nous accompagnons les managers afin qu’ils deviennent de véritables managers Facilitateurs !