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Les 10 avantages d’avoir un facilitateur durant un atelier ou une réunion ?

Les avantages d’avoir un facilitateur en intelligence collective en entreprise sont similaires à ceux d’avoir un facilitateur en général en entreprise. Tout d’abord, un facilitateur en intelligence collective peut aider à améliorer la communication et la collaboration au sein de l’entreprise, ce qui peut conduire à une meilleure productivité et à des résultats plus satisfaisants.

En outre, un facilitateur en intelligence collective peut aider à rassembler les idées et les perspectives de chacun des membres de l’entreprise pour favoriser l’émergence d’idées innovantes et de solutions créatives. Cela peut être particulièrement utile dans le cadre de la résolution de problèmes complexes ou de la prise de décisions importantes.

De plus, un facilitateur en intelligence collective peut aider à organiser et à mener des réunions et des sessions de travail de manière efficace, en veillant à ce que toutes les voix soient entendues et que les objectifs soient atteints de manière adéquate.

Enfin, un facilitateur en intelligence collective peut être un excellent catalyseur pour l’innovation et la créativité au sein de l’entreprise, en encourageant l’expression des idées et en facilitant leur mise en œuvre. En somme, les avantages d’avoir un facilitateur en intelligence collective en entreprise peuvent être nombreux, allant de l’amélioration de la communication et de la collaboration à la résolution de problèmes complexes en passant par l’organisation et la conduite efficace de réunions et de sessions de travail.

1. Un facilitateur peut aider à maintenir un ordre et une structure dans l’atelier ou la réunion, ce qui peut être particulièrement utile lorsque de nombreux sujets différents sont abordés.

2. Un facilitateur peut aider à gérer le temps de parole de manière équitable, ce qui permet à tous les participants de s’exprimer et d’être entendus.

3. Un facilitateur peut aider à résoudre les conflits ou les problèmes qui pourraient survenir pendant l’atelier ou la réunion, en jouant un rôle de médiateur.

4. Un facilitateur peut aider à maintenir un niveau d’engagement élevé chez les participants en animant les discussions et en veillant à ce que les sujets abordés restent pertinents.

5. Un facilitateur peut aider à clarifier les objectifs de l’atelier ou de la réunion et à faire en sorte que les participants comprennent ce qui est attendu d’eux.

6. Un facilitateur peut aider à établir des règles de participation pour garantir que tous les participants puissent s’exprimer et participer pleinement.

7. Un facilitateur peut aider à collecter et à synthétiser les idées et les suggestions des participants pour les utiliser dans la suite de l’atelier ou de la réunion.

8. Un facilitateur peut aider à gérer les différents aspects logistiques de l’atelier ou de la réunion, ce qui peut être particulièrement utile lorsque de nombreux participants sont impliqués.

9. Un facilitateur peut aider à garantir que les décisions prises lors de l’atelier ou de la réunion sont mises en œuvre de manière efficace et que les résultats sont suivis.

10. Un facilitateur peut aider à créer un climat de confiance et de respect au sein de l’atelier ou de la réunion, ce qui peut favoriser une participation active de tous les participants.

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Le triangle dramatique de Karpman

Le triangle dramatique de Karpman est un modèle théorique qui a été développé par Stephen Karpman pour expliquer les différents rôles que les individus peuvent jouer dans les conflits interpersonnels. Selon ce modèle, les individus impliqués dans un conflit peuvent adopter trois rôles différents : celui de l’agresseur, de la victime ou du sauveur.

Le rôle de l’agresseur est celui qui prend l’initiative dans le conflit et qui cherche à imposer sa volonté aux autres. Le rôle de la victime est celui qui subit les agressions de l’agresseur et qui se sent impuissant face à la situation. Le rôle du sauveur est celui qui intervient pour protéger la victime de l’agresseur et qui tente de résoudre le conflit.

Selon le triangle dramatique de Karpman, ces trois rôles sont interdépendants et peuvent être constamment en train de changer au cours du conflit. Par exemple, la victime peut devenir agresseur en répondant à l’agression initiale, et le sauveur peut devenir agresseur en imposant sa volonté pour résoudre le conflit.

Le triangle dramatique de Karpmann est un outil utile pour comprendre les dynamiques des conflits interpersonnels et pour trouver des solutions pour les résoudre de manière équitable et respectueuse.

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Le Marshmallow Challenge

L’activité du Marshmallow Challenge peut nous apprendre plusieurs choses sur l’innovation et l’intelligence collective. Tout d’abord, elle montre que l’innovation et la créativité peuvent émerger lorsque les individus travaillent ensemble de manière collaborative et inclusive. En effet, en travaillant en équipe, les participants peuvent échanger des idées et des perspectives différentes, ce qui peut les aider à trouver des solutions plus originales et plus efficaces.

En outre, l’activité du Marshmallow Challenge met également en évidence l’importance de la communication et de la coopération au sein d’un groupe pour atteindre un objectif commun. En travaillant en équipe, les participants doivent apprendre à écouter les idées des autres, à s’entraider et à travailler en synergie pour atteindre leur objectif.

Enfin, l’activité du Marshmallow Challenge peut également nous montrer l’importance de la prise de risques et de l’adaptabilité dans le processus d’innovation. En effet, pour réussir l’activité, les participants doivent être prêts à expérimenter de nouvelles approches et à s’adapter rapidement si leur première stratégie ne fonctionne pas. En somme, l’activité du Marshmallow Challenge peut nous enseigner de nombreuses leçons sur l’innovation et l’intelligence collective, telles que l’importance de la collaboration, de la communication et de la prise de risques dans le processus de création et de résolution de problèmes.

Quelles sont les règles du Marshmallow Challenge ?

Les règles du Marshmallow Challenge peuvent varier selon l’organisateur de l’activité, mais voici quelques règles générales couramment utilisées :

  1. Les participants sont divisés en équipes de quatre à six personnes.
  2. Chaque équipe doit construire la structure la plus haute possible en utilisant des matériaux simples: 1mètre de ruban adhésif, 1 mètre de ficelle, 20 spaghetti, 1 Marshmallow (alias la Guimauve)
  3. Le marshmallow doit être placé au sommet de la structure.
  4. Les équipes ont un temps limité, généralement entre 15 et 30 minutes, pour construire leur structure.
  5. Aucun des matériaux ne peut être collé ou fixé de manière permanente.
  6. L’équipe qui construit la structure la plus haute gagne l’activité.

En général, les règles du Marshmallow Challenge sont conçues pour encourager les participants à travailler ensemble de manière collaborative et à utiliser leur créativité pour trouver des solutions originales.

Vous souhaitez que nous venions animer un Marshmallow Challenge chez vous ?

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Qu’est-ce que la communication non violente ?

La communication non violente (CNV) est une approche de la communication fondée sur l’idée que tous les individus ont des besoins fondamentaux qui doivent être pris en compte dans les interactions sociales. La CNV vise à promouvoir des relations respectueuses et bienveillantes en encourageant l’expression des émotions et des besoins de chacun, sans jugement ni critique. La CNV s’appuie sur l’écoute active et la prise en compte des perspectives des autres pour résoudre les conflits et améliorer les relations interpersonnelles. Elle peut être utilisée dans différents contextes, notamment en entreprise, en famille et dans les relations amoureuses.

Quels sont les avantages de la communication non violente ?

La communication non violente (CNV) présente de nombreux avantages. Voici quelques exemples :

  1. Elle permet d’améliorer les relations interpersonnelles en créant un climat de respect et de bienveillance.
  2. Elle favorise la compréhension mutuelle en encourageant l’expression des émotions et des besoins de chacun.
  3. Elle permet de mieux gérer les conflits en reconnaissant les perspectives de chaque personne impliquée.
  4. Elle contribue à la résolution de conflits en favorisant l’écoute et la compréhension mutuelle.
  5. Elle peut être utilisée dans différents contextes, notamment en entreprise, en famille et dans les relations amoureuses.
  6. Elle peut aider les individus à mieux se comprendre eux-mêmes et à développer leur estime de soi.
  7. Elle peut contribuer à la réduction de la violence et de l’agressivité dans les interactions sociales.
  8. Elle peut améliorer la qualité de vie en créant un climat de confiance et de collaboration.

Quelles sont les techniques de communication non violente ?

Il existe plusieurs techniques de la communication non violente (CNV) qui peuvent être utilisées pour améliorer les relations interpersonnelles et gérer les conflits. Voici quelques exemples :

  1. L’écoute active : il s’agit d’écouter attentivement l’autre personne en prenant en compte ses émotions et ses besoins, sans interruption ni jugement.
  2. L’expression des sentiments : il s’agit de nommer ses propres émotions de manière claire et directe, en utilisant des phrases commençant par « je » pour éviter les accusations et les critiques.
  3. L’expression des besoins : il s’agit d’exprimer ses besoins de manière claire et directe, en utilisant des phrases commençant par « j’ai besoin de » pour éviter les ultimatums et les menaces.
  4. L’empathie : il s’agit de se mettre à la place de l’autre personne pour comprendre ses émotions et ses besoins, en utilisant des phrases comme « je comprends que tu ressens cela » pour montrer de la compassion.
  5. La formulation de demandes : il s’agit de formuler des demandes claires et précises en utilisant des phrases commençant par « pourrais-tu » ou « est-ce que tu pourrais » pour éviter les ordres et les exigences.
  6. La recherche de solutions mutuellement satisfaisantes : il s’agit de trouver des solutions qui tiennent compte des besoins et des intérêts de chacun en utilisant des techniques de brainstorming et de médiation.

Communication non violente et d’intelligence collective ?

La communication non violente peut être adoptée dans un contexte d’intelligence collective en mettant l’accent sur l’écoute active et le respect des opinions des autres. Cela implique de s’efforcer de comprendre les points de vue des autres et de chercher des solutions qui tiennent compte des besoins et des intérêts de chacun. Il peut également être utile d’établir des règles de base pour la communication au sein du groupe, telles que le fait de ne pas interrompre les autres lorsqu’ils parlent et d’éviter les jugements négatifs. En adoptant ces approches, les membres de l’intelligence collective peuvent travailler ensemble de manière plus collaborative et respectueuse.

C’est quoi l’approche O.S.B.D ?

L’approche OSBD en communication non violente est une approche basée sur les principes de la communication non violente développée par le psychologue américain Marshall Rosenberg. OSBD signifie Observation, Sentiment, Besoin et Demande, et cette approche vise à aider les individus à communiquer de manière plus claire, authentique et efficace en se concentrant sur ces quatre éléments clés.

En utilisant l’approche OSBD, les individus apprennent à formuler leurs observations, sentiments, besoins et demandes de manière claire et directe, sans jugement ni critique. Cela peut aider à éviter les conflits et les malentendus, et à favoriser une communication plus ouverte et plus empathique entre les interlocuteurs. En somme, l’approche OSBD en communication non violente vise à aider les individus à mieux se comprendre et à mieux se faire comprendre pour résoudre les conflits et les problèmes de manière pacifique et efficace.

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Quelle est la différence entre l’animation et la facilitation ?

L’animation et la facilitation sont deux approches qui peuvent être utilisées dans les contextes de travail en équipe, de formation ou de développement personnel. Bien que ces deux approches aient des points communs, elles ont également des différences importantes.

La principale différence entre l’animation et la facilitation réside dans le rôle et les responsabilités du facilitateur ou de l’animateur. L’animateur a un rôle plus actif et directif dans le groupe, en prenant en charge la planification et la mise en œuvre des activités, en animant les échanges et en veillant à ce que les participants atteignent les objectifs fixés. Le facilitateur, en revanche, a un rôle plus passif et moins directif dans le groupe, en accompagnant les participants dans leur réflexion et leur prise de décision, en les aidant à résoudre les problèmes et les conflits, en leur offrant un cadre logique et structuré pour leur travail en équipe.

En somme, l’animation vise à créer une dynamique positive et interactive dans le groupe, tandis que la facilitation vise à favoriser l’autonomie et la créativité des participants, en leur offrant un cadre de réflexion sécurisé.

L’animation se réfère à l’art de mettre en vie un groupe ou un événement en suscitant l’intérêt et l’engagement des participants. L’animateur est responsable de l’ambiance générale du groupe et de la dynamique de l’événement, en utilisant des techniques de divertissement, de motivation, de créativité, etc. L’objectif de l’animation est de susciter l’enthousiasme et l’engagement des participants, pour rendre l’événement plus agréable et plus productif.

La facilitation, en revanche, se réfère à l’art d’aider un groupe à atteindre des objectifs précis en facilitant la communication, la coopération et la prise de décision. Le facilitateur est un guide impartial qui accompagne le groupe dans le processus de réflexion et de décision, en utilisant des techniques d’écoute active, de questionnement, de recadrage, etc. L’objectif de la facilitation

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La Facilitation en sketchnote

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Un futur au top

Imaginons cela !

Nous sommes le 31 décembre 2022, et nous remarquons que cette année a été formidable pour nous en tant qu’équipe, que tout s’est bien déroulé, que nous avons enchaîné les réussites, les interactions ont été (re)génératices et agréables, chaque action nous a permis de mieux collaborer et nous avons pris du plaisir à être dans cette équipe !

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La vision en entreprise

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La Matrice de Stacey

La matrice de Stacey est un outil qui permet de se positionner selon le niveau de complexité du projet. La matrice comporte quatre quadrants : simple-complexe, individuel-collaboratif, analytique-synthétique et exact-approximatif. Le premier quadrant concerne les projets faciles et pouvant être réalisés par un individu ou une petite équipe. Le deuxième quadrant concerne les projets qui peuvent être résolus par un groupe aux compétences différentes, mais qui nécessitent l’utilisation de l’intelligence collective pour les résoudre. Le troisième quadrant concerne les projets qui nécessitent une analyse et une recherche détaillées avant de pouvoir être résolus. Et enfin, le quatrième quadrant est pour les projets difficiles ou impossibles

La matrice de Stacey : connaitre son environnement

Ah, la matrice de Stacey ! Vous en avez peut-être entendu parler, mais savez-vous vraiment ce que c’est ? Plongeons ensemble dans ce concept fascinant qui nous aide à mieux comprendre notre environnement professionnel.

Introduction à la matrice de Stacey

Origine et histoire

La matrice de Stacey a été créée par Ralph Stacey, un chercheur en management. Elle est née de sa volonté de comprendre les dynamiques organisationnelles et les défis auxquels sont confrontées les entreprises.

Principes de base

Cette matrice est un outil qui permet de visualiser la complexité et l’incertitude d’une situation. Elle se base sur deux axes : l’accord et la certitude. Mais qu’est-ce que cela signifie vraiment ?

Comprendre les axes de la matrice

Axe de l’accord

Imaginez une équipe de travail. Si tout le monde est d’accord sur ce qu’il faut faire, on se trouve dans une zone d’accord élevé. Mais si les opinions divergent… eh bien, vous voyez où je veux en venir !

Axe de la certitude

C’est un peu comme prévoir la météo. Parfois, c’est clair comme de l’eau de roche, et parfois, c’est aussi flou que du brouillard en automne.

Les zones de la matrice

Zone simple

– Caractéristiques

Ici, tout est clair et prévisible. C’est un peu comme suivre une recette de cuisine à la lettre.

– Exemples

Pensez à des tâches routinières, comme vérifier vos emails ou organiser une réunion.

Zone compliquée

Les choses se corsent un peu. Il y a plusieurs façons de faire, et il faut choisir la meilleure. Un peu comme choisir entre une tarte aux pommes et une tarte aux cerises, non ?

Zone complexe

C’est le territoire de l’inconnu. On tâtonne, on expérimente. C’est comme essayer de danser le tango pour la première fois. Pas facile, mais passionnant !

Zone chaotique

Accrochez-vous, tout peut arriver ! C’est comme être dans une tempête en haute mer. Il faut réagir vite et bien.

Comment utiliser la matrice dans la vie professionnelle ?

La matrice de Stacey n’est pas qu’un joli schéma. Elle peut vous aider à prendre des décisions, à anticiper des problèmes et à mieux comprendre votre environnement. Alors, prêt à l’adopter ?

Avantages et limites de la matrice

Comme tout outil, la matrice de Stacey a ses forces et ses faiblesses. Elle offre une vision claire de la complexité, mais elle ne donne pas toutes les réponses. C’est un peu comme avoir une boussole sans carte.

Conclusion

La matrice de Stacey est bien plus qu’un simple outil de management. C’est une boussole qui nous guide dans le monde complexe et incertain de l’entreprise. Alors, la prochaine fois que vous vous sentez perdu, pensez à elle !

FAQs

1. Qui est Ralph Stacey ? Ralph Stacey est un chercheur en management qui a créé la matrice éponyme pour aider les entreprises à naviguer dans la complexité.

2. La matrice de Stacey est-elle adaptée à toutes les entreprises ? Elle est particulièrement utile pour les entreprises confrontées à des défis complexes, mais elle peut être adaptée à tout type d’organisation.

3. Comment puis-je utiliser la matrice dans mon travail quotidien ? Commencez par identifier où vous vous situez sur la matrice, puis adaptez votre stratégie en conséquence.

4. La matrice de Stacey est-elle la seule manière de comprendre la complexité ? Non, il existe d’autres outils et méthodes, mais la matrice de Stacey est particulièrement intuitive et visuelle.

5. Où puis-je en apprendre davantage sur la matrice de Stacey ? Il existe de nombreux livres et articles sur le sujet. N’hésitez pas à faire vos propres recherches pour approfondir vos connaissances !

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Sketchnote : l’agilité c’est quoi ?